Sandra Kim et Claude Rappé
Il y a 30 ans, le 3 mai 1986, en Norvège, Sandra Kim remporte pour la
Belgique le concours Eurovision de la chanson avec « J’aime la vie ».
Elle a treize ans.
Le monde se prend d’affection pour cette teenager positive et une voix qui rivalise avec les plus grandes de la planète.
30 ans plus tard, Sandra Kim revient sur son étonnante histoire et dévoile les coulisses d’un parcours exceptionnel.
À la fois anniversaire et bilan, ce livre lève le voile sur ce show-biz
auquel elle a sacrifié sa vie. Qu’a-t-elle réellement vécu ?
Un récit qui ne ménage personne. Un regard intime, sans concession, sur elle-même et sur une carrière parfois à contre-courant. Les auteurs
Sandra Kim, de son vrai nom Sandra Caldarone, est une chanteuse belge
née le 15 octobre 1972. Mariée, la jeune femme continue aujourd’hui
d’exercer son métier. photo : telepro.be
Claude Rappé est écrivain, journaliste, scénariste et producteur pour la télévision française, autrefois animateur à RTL et AB3.
ISBN : 978-2-87557-242-4
Prix France TTC : 14,90 €
Date de parution Belgique : 20/04/2016
1er mai : la CSC fait la fête au MR en se réunissant devant le siège du parti des "MenteuRs"
BELGA
Une petite centaine de militants de la CSC wallonne se sont
rassemblés lundi matin devant le siège du MR à Bruxelles afin de
dénoncer les mesures prises par le gouvernement aux dépens des
travailleurs et des travailleuses, qu'ils soient actifs ou non. Le
syndicat chrétien entendait initialement se rassembler hier/dimanche à
Jodoigne en marge des festivités qu'y organise traditionnellement le
parti libéral pour la fête du travail comme il l'avait fait l'an passé.
Mais il n'en a pas reçu l'autorisation, ce qui l'a poussé à organiser
cette action devant le siège des "MenteuRs". "On ne nous fait pas taire
aussi aisément. Nous ne voulons rien lâcher, nous ne lâchons rien",
assure la CSC wallonne, qui s'est réunie dès 8h30 boulevard de la Toison
d'Or.
"Les faits sont là. Depuis qu'il est au gouvernement, ce parti
attaque les travailleurs en alignant mensonge sur mensonge",
poursuit-elle. "Ils avaient promis de ne jamais toucher à l'index... Ils
avaient promis d'améliorer notre pouvoir d'achat... Ils avaient promis
qu'ils n'iraient jamais au gouvernement avec la N-VA... Ils ont fait
l'inverse! Ils n'avaient pas annoncé le recul de la pension à 67 ans,
ils l'ont fait. Et ils continuent de mentir en affirmant qu'ils
respectent la concertation sociale...", déplore le syndicat.
La CSC affirme qu'elle continuera à dénoncer les mensonges et à proposer des alternatives "crédibles, justes et solidaires".
02-05-2016
lesoir.be
Les syndicats: «Ce 1er mai est un 1er mai noir»
Belga
La FGTB annonce une manifestation nationale fin mai contre la politique « injuste » du gouvernement Michel.
Une nouvelle
manifestation nationale sera organisée «fin mai» par le front commun
syndical CSC/FGTB/CGSLB contre la politique menée par le gouvernement
fédéral et contre le patronat, a annoncé samedi soir le président de la
FGTB, Rudy De Leeuw, au cours d’un discours à Gand à la veille de la
fête du Travail, confirmant ce qu’avait révélé Robert Verteneuil ce
samedi au « Soir ».
Réunis à Gand, le président de la FGTB, mais aussi le
président du sp.a, John Crombez, et Paul Callewaert, le secrétaire
général des Mutualités socialistes, ont critiqué vertement la politique
du gouvernement Michel, et aussi les employeurs. «Laissez les travailleurs tranquilles. Car ce sont eux qui sont à la base de vos bénéfices», a mis en garde Rudy De Leeuw. «Les gens travaillent dur pour rien. Ça suffit. Il faut être plus juste»,
a prolongé John Crombez. Rudy De Leeuw a pour sa part annoncé
l’organisation d’une manifestation nationale à la fin du mois de mai. Sa
date précise sera fixée mardi, jour où est également prévue une
conférence de presse.
Le thème du discours de John Crombez était la politique du gouvernement fédéral, qu’il a qualifiée d’"injuste». «Les
gens travaillent dur pour rien. Et le pire est que, selon vous, ils
vivraient encore au-dessus de leurs moyens et pourraient encore faire
des efforts.» Selon M. Crombez, le gouvernement travaille pour les diamantaires, les multinationales et les «Panama fraudeurs».
«Je me demande si vous vous rendez compte de ce
que les gens attendent de vous: votre travail est d’être juste, de mener
une politique pour l’ensemble de la population et donner aux jeunes de
l’espoir en l’avenir. Vous ne réalisez aucun de ces trois objectifs. Ça
suffit», a lancé John Crombez.
Rudy De Leeuw a également vertement critiqué le projet du gouvernement d’assouplir la semaine de travail de 38 heures. «Nous ne lâcherons pas la semaine des 38 heures»,
a lancé M. De Leeuw. Il a aussi critiqué les «provocations orchestrées»
par le patronat et a annoncé la tenue d’une manifestation nationale fin
mai.
Selon Paul Callewaert, secrétaire général des Mutualités Socialistes, le 1er mai sera fêté en mode mineur. «Ce
gouvernement ne se rend pas compte qu’en quelques semaines, il a
détruit tout ce pour quoi nos parents grands-parents s’étaient battus.
Pour ces raisons, ce 1er mai est un 1er mai noir.»
Une première manifestation nationale avait déjà été
organisée en novembre 2014 contre le gouvernement fédéral, alors à peine
entré en fonction. En octobre 2015, CSC, FGTB et CGSLB étaient
également descendus dans la rue.
Une douzaine de personnes ont été blessées ce lundi soir, vers 19
heures, dans un accident de bus, à Bruxelles, près du Château de
Laeken. D'après les premières informations de la STIB, confirmées par la
police, un bus 53, circulant Avenue du Parc royal s'est fait couper la
route par une camionnette.
Voulant éviter le véhicule, le chauffeur aurait alors effectué une
manœuvre avant de perdre le contrôle du bus. Ce dernier aurait alors
percuté le mur d'enceinte du château royal.
On dénombrerait une douzaine de blessés, dont 6 seraient dans un
état grave. Cinq autres voitures auraient également été touchées. Un
expert a été désigné pour effectuer les constatations, a indiqué le
parquet de Bruxelles.
A la suite de cet accident, l'avenue du Parc royal a été fermée à la circulation dans les deux sens.
02-05-2016
lalibre.be
"Hymne" en anglais pour les supporters français à l'Euro: un ministre français "consterné" (VIDEO)
Belga
Publié le
- Mis à jour le
Le secrétaire d'Etat français à la Francophonie, André Vallini, a
jugé lundi "incompréhensible" et "consternant" le choix d'une chanson en
anglais pour tenir lieu d'hymne officieux des supporters de l'équipe de
France pour l'Euro-2016 de football. "L'Euro-2016 sera une grande fête
sportive et populaire qui va se dérouler en France et devrait donc faire
rayonner notre pays. Et notre langue! ", a souligné M. Vallini dans un
communiqué.
"Il est donc incompréhensible que l'hymne de l'Equipe de France de football soit en langue anglaise", a-t-il déploré.
"Skip The Use", un groupe de rock du nord de la France a sorti fin
avril "la chanson officielle des supporters des Bleus": une reprise du
tube "I Was Made for Lovin' You (My Team)" du groupe américain Kiss.
Avec plusieurs autres grands succès de la chanson, dont des titres
des chanteurs populaires français Charles Trenet et Jean-Jacques
Goldman, ce tube planétaire avait été proposé au groupe "Skip The Use"
par la Fédération française de football et l'un de ses sponsors. Il a
été choisi car c'est "le morceau qui nous a le plus parlé", a expliqué
le chanteur du groupe Mat Bastard.
Un "choix consternant" qui "a également été celui fait pour la
chanson qui représentera la France à l'Eurovision, dont le refrain est
aussi en anglais", a déploré le secrétaire d'Etat à la francophonie.
"Au moment où nous défendons la place du français dans les
institutions internationales et notamment européennes, au moment où nous
mobilisons tous nos moyens pour son rayonnement dans le monde, (...) il
est incompréhensible que lors de deux grands évènements populaires, la
langue française baisse pavillon! ", a encore estimé M. Vallini. Et de
conclure: "De grâce, ne marquons pas contre notre camp! ".
Organisé par l'UEFA, l'Euro-2016 de football aura lieu en France du
10 juin au 10 juillet, dans plusieurs grandes villes du pays. Près de
deux millions de visiteurs sont attendus.
02-05-2016
tf1.fr
Moment culte sur TF1 : quand le leader de L'Affaire Louis' Trio interprétait "Chic planète
MOMENT CULTE. L'interprète de Chic planète, plus connu sous le pseudonyme de
Cleet Boris, est décédé lundi, à 53 ans, à la suite d'une crise
cardiaque. Le leader et chanteur du groupe "l'Affaire Louis'Trio", était
une figure marquante des années 80. Redécouvrez une de ses performances
télé dans l'émission "À la folie pas du tout" de TF1.
Hubert Mounier,
connu alors sous le nom de Cleet Boris, avait fondé en 1982 le groupe
de musique français «L'Affaire Louis Trio» à Lyon avec son frère ...
Voilà
donc un pan de cette culture qu’on pensait volatilisé à jamais. Mais c’est sans
compter sur ces petites découvertes personnelles qui redonnent de l’espoir,
comme l’histoire de Maite Zubiaurre. Cette professeure à UCLA trouve chez un
antiquaire, il y a quelques années, une collection d’images d’hommes et de
femmes nus. Elle réalise alors que ce sont là plus que de simples photographies
coquines mais un précieux fonds qui révèle la culture érotique de cette période
oubliée pendant l’ère Franco. Un élément déclencheur qui la pousse à explorer
pendant 10 années bibliothèques, archives privées mais aussi antiquaires et
bouquinistes, à la recherche de représentations graphiques et textuelles de l’époque
d’avant Franco.
Le résultat ? La
publication du premier ouvrage scientifique analysant le riche éventail des
représentations visuelles et textuelles de l’érotisme dans la culture populaire
espagnole au cours de la première moitié du XXe siècle : Culture de l’érotisme en Espagne, 1898-1939. Des
nouvelles érotiques aux traités philosophiques sur l’amour sexuel, en passant
par des images et textes sur le nudisme et naturalisme, des cartes postales
françaises, des illustrations, photographies et films pornographiques, l’auteure
nous plonge dans un cabinet de curiosités extrêmement riche. On y découvre une
Espagne d’avant dictature ouvertement anticléricale où l’amour et la sexualité
sont tout sauf sérieux et discrets et où les bicyclettes et machines à écrire,
synonymes de modernité et de changement, apparaissent comme dangereuses.
Vous
pouvez retrouver ces archives en ligne avec son website A virtual Wunderkammer,
sur lequel elle encourage les lecteurs à commenter et enrichir la collection,
désireuse de transformer son projet en puissant outil de recherche et
d’enseignement.
Camille Causse
04-05-2016
lesoir.be
Grève générale le 7 octobre: la 21e action nationale d’envergure contre le fédéral
Depuis
la grande manifestation du 7 octobre dernier, le mouvement syndical
vivotait un peu. Avec l’annonce de toutes ces actions, il reprend des
couleurs et de la vigueur. Les syndicats ont aussi senti qu’ils avaient à
nouveau la capacité de mobiliser et se sont engouffrés dans la brèche.
Depuis le début du gouvernement Michel, la grève générale du 7 octobre
sera donc la 21e action nationale d’envergure contre la politique
fédérale.
Pourtant la
suédoise n’a pas reculé d’un iota. Saut d’index, pension à 67 ans...
l’exécutif est toujours resté sourd aux revendications des syndicats. Et
le dossier du temps de travail ne devrait pas déroger à la règle.
Personne au sein du gouvernement n’a voulu commenter l’annonce de ces
actions.
De quoi démobiliser les syndicats? Que du contraire! « Avec les commissions d’enquête, notamment, ce gouvernement n’a pas une grande stabilité. Et c’est sûr que si nous ne faisons rien, il ne se passera rien », estime Marc Goblet. Sur le front social aussi, les prochains mois s’annoncent chauds.
06-05-2016
lameuse.be
Le salaire de la nouvelle directrice du circuit de Spa-Francorchamps fait polémique
Sammy Grynberg
La nouvelle directrice générale du circuit de
Spa-Francorchamps, la Française Nathalie Maillet, touchera 22 000 euros
bruts par mois. Sans compter qu’elle aura d’autres avantages.
Nathalie Maillet vient à peine de prendre les rênes
du circuit de Spa-Francorchamps que naît déjà une polémique, révélée par
nos confrères de L’Echo.
Selon eux, le salaire de la nouvelle directrice ne plairait pas à tous
les membres du conseil d’administration de la société de gestion du
circuit de F1. Son salaire brut annuel s’élève à 264 000 euros, soit 22
000 euros par mois.
Les compétences de Nathalie Maillet, elles,
ne sont
pas remises en question et nombreux sont ceux qui se félicitent de sa
nomination.
06-05-2016
lameuse.be
Verviers: un conseiller socialiste dérape en comparant Israël à Daesh
A.F.
Le conseiller communal verviétois Saïd Naji (PS) a
quelque peu dérapé sur Facebook. À la suite d’un rassemblement en
soutien au peuple palestinien, il a commenté sur facebook : « Et oui
Israël = Daesh = Haine = Inhumain ». De quoi avaler son café de travers
au PS où l’on juge ces propos « inacceptables », comme dans d’autres
formations. L’élu devra s’expliquer devant une commission de vigilance
du PS prochainement. Il a déjà formulé ses excuses par l’entremise du
président de l’USC verviétoise.
Capture Facebook
Les commentaires au-dessus de cette photo étaient
: «
Et oui Israël = Daesh = Haine = Inhumain
»
Le conflit israélo-palestinien a tendance à déchaîner
les passions, voire même à conduire à certains dérapages. Le dernier en
date, on le doit au conseiller communal PS Saïd Naji. Sur Facebook, il a
publié une photo de lui, appelant au boycott d’Israël en soutien au
peuple palestinien, accompagnée du commentaire suivant : « Et oui Israël
= Daesh = Haine = Inhumain ».
«
Nous allons demander qu’il retire ses propos car nous les considérons comme inacceptables
», réagit le porte-parole du PS, Karim Ibourki. «
On ne peut comparer un État à l’État islamique
», ajoute-t-il.
06-05-2016
lesoir.be
Canada: l'incendie de Fort McMurray a déplacé 100.000 personnes en 48h
Déclenché
mardi, le gigantesque incendie qui sévit au Canada continue de dévaster
l'Alberta. Comment se sont déclenchés ces feux? Pourquoi sont-ils
difficiles à maîtriser? Et quelles conséquences ont-ils? BFMTV.com fait
le point.
> Comment se sont déclenchés les incendies?
C'est
une question à laquelle les autorités n’arrivent pas à répondre. Pour
l'heure, il est toujours impossible de déterminer l’origine des départs
de feu qui ont débuté ce mardi. Les forêts se transforment en un
véritable brasier, très difficile à maîtriser. Sur des images surréalistes,
on aperçoit de grands arbres transformés littéralement en immenses
torches d'une trentaine de mètres. Fort McMurray, située dans l'État de
l'Alberta à l'ouest du Canada, est ravagée. La ville et ses alentours
abritent d’importants sites pétroliers. Mais par chance, aucun n’est
pour le moment touché.
> Pourquoi ne sont-ils pas maîtrisés?
Tout
d'abord, les conditions météo n’aident pas les secours. Les vents de
nord-ouest soufflent jusqu’à 40km/h et attisent le feu. La chaleur
favorise également la propagation. Des records de températures ont été battus dans la semaine avec plus de 32°C relevés à Fort McMurray.
D’heure
en heure, le feu se propage alors de broussailles en brouillasses
créant ainsi plusieurs foyers différents. On en dénombre pas moins d'une
cinquantaine, dont une dizaine serait incontrôlable. Les autorités
redoutent que le pire ne soit encore soit à venir. Et cela, malgré
l’impressionnant dispositif: plus de 1.000 pompiers, 145 hélicoptères et
22 avions bombardiers ont été déployés.
> Quelles sont leurs conséquences?
Elles sont déjà humaines. Toute l'agglomération de Fort McMurray
et des trois autres communes à quelques dizaines de kilomètres au sud
ont été vidées et ce sont près de 100.000 habitants au total qui ont été
évacués
depuis bientôt 48 heures. Pour 8.000 d’entre elles, un pont aérien a
été organisé. Le gouvernement de l'Alberta a déclaré l'état d'urgence
provincial.
Côté environnement, ce sont près de 85.000 hectares qui sont
partis en fumée dans toute la province, grande pratiquement comme la
France, dont plus de 12.000 hectares autour de Fort McMurray.
Ce
gigantesque incendie a aussi des conséquences économiques. Une grande
partie du pétrole nord-américain est extrait dans cette zone. Mais la
compagnie Shell a interrompu mercredi toutes ses activités dans le
secteur pour une durée indéterminée. Moins de pétrole pour une demande
égale: le cours du brut a donc grimpé depuis trois jours.
Enfin,
la catastrophe pourrait coûter plus de 6 milliards d'euros aux assureurs
pour dédommager les sinistrés. Ces derniers doivent se préparer à "ne
pas rentrer chez eux avant longtemps", a prévenu la Première ministre de
l'Alberta, Rachel Notley.
Lou Deprijck fait chanter Miss Belgique: Michel Lecomte et Benjamin Deceuninck en prennent pour leur grade (vidéo)
Laurence Briquet
Le chanteur et compositeur Lou Deprijck sort cette
semaine un single "Come on Belgium", à la gloire de nos Diables rouges.
Il y fait même chanter Annelies Törös, Miss Belgique 2015. Nous vous
dévoilons le clip en exclusivité.
Capture d’écran
Comme vous pouvez le découvrir, le clip est…
surréaliste. Tourné en une journée, il met en avant les bières belges
mais aussi et surtout nos joueurs. Kevin, Eden, Marouane, Axel, Dries ou
Radja y sont appelés par leur prénom tandis que leur entraîneur, Marc
Wilmots, prend le look de Super Mario Bros pour devenir Super Marco.
Au son de "Come on Belgium", les références à
Magritte pleuvent (la pomme, le chapeau, la pipe…) mais aussi les clins
d’œil à toute une série de personnalités connues du grand public. Par un
habile montage, on y voit notamment l’animateur Stéphane Pauwels dans
un avion avec le Grand Jojo. "Ils ont déjà fait des galas ensemble. C’est pour ça que j’ai voulu les mettre ensemble dans un avion", explique Lou Deprijck.
De là-haut, Raymond Goethaels et Luc Varenne,
transformés en anges, regardent Annelies Törös danser avec le drapeau
belge sur les épaules. Michel Lecomte et Benjamin Deceuninck, les deux
animateurs de la RTBF, en prennent aussi pour leur grade. On les
retrouve, hilares, déguisés en Schtroumpfs. "Ils m’ont déjà égratigné. J’ai voulu leur faire un clin d’œil",
explique le chanteur compositeur. Et Annelies dans tout ça ? Elle ne
chante jamais seule. Elle pose sa voix sur celle de Lou et danse dans
une petite robe noire courte, drapeau belge sur les épaules ou en main.
Mignonne et rafraîchissante, comme l’a très justement dit Lou…
Retrouvez l’interview de Lou Deprijck dans nos éditions de ce vendredi 6 mai.
Françoise Chardon, la gérante, pose avec le sourire dans le magasin.-ÉdA AV
Désirs et Moi: c’est le nom du nouveau love shop
qui ouvre ce samedi après-midi, dans la piétonnier Brou-Harmonie,
précisément dans l’ancien bâtiment de Maison Huit.
«La grande ouverture à lieu samedi de 15
h à 20 h, avec des réductions sur chaque article», annonce la gérante
des lieux, Françoise Chardon.
À l’intérieur de la boutique, dans une atmosphère chaleureuse teintée de néons roses ...
09/05/2016
mediabeofficiel
Blue Ginkgo devient Blue-in…
entre Liège et Paris,
Sur la Meuse, dans ses quartiers,
à la Boverie ou en plein air,
Liège se dessine, s’expose…
et Paris y est invitée…
Le nouveau cd du groupe Blue-in, sorti le 4 mai 2016,
joue et chante ces liens multiples …
Le cd est disponible à la librairie « livre aux trésors » place Xavier Neujean,27A à Liège.
Photo de notre journaliste Sébastien Degrave (prison de Saint-Gilles)
Après
les policiers, ce sont les militaires qui ont été assignés ce lundi à
trois établissements pénitentiaires affectés par un mouvement de grève
des gardiens de prison depuis deux semaines. Une situation inédite dans
notre pays. Les représentants des gardiens jugent cette décision du
gouvernement fédéral incompréhensible. Une nouvelle réunion avec le
ministre de la Justice n'a visiblement rien donné. Le mouvement de
grogne continue.
Les 120 militaires réquisitionnés pour
sécuriser les prisons de Lantin, Forest et Saint-Gilles font partie du
contingent de 1.832 militaires participant à l’opération Homeland, pour
remplacer les gardiens en grève. Le gouvernement fédéral avait annoncé
dimanche qu'il réquisitionnait six pelotons pour "fournir un soutien humanitaire"
aux détenus. Leur déploiement était effectif ce lundi en matinée à la
prison de Lantin et en milieu d'après-midi aux prisons de Saint-Gilles
et Forest. Les syndicats condamnent le recours à l'armée
L'envoi
de militaires dans les prisons touchées par le mouvement de grève
révèle un déficit de concertation sociale et démontre un manque
d'intérêt pour la qualité des services publics, ont réagi ce lundi
plusieurs syndicats. Ils appellent le gouvernement à "enfin agir de manière responsable".
D'après la CSC Services Publics, la grève dans les prisons wallonnes et bruxelloises s'explique par "les économies aveugles prônées par le ministre de la Justice et son gouvernement", qui obligent les agents à travailler "dans des conditions de sécurité intolérables". L'organisation syndicale juge les dernières propositions du ministre "inacceptables"
et réclame l'application du plan de personnel 2014 (remplissage des
cadres à 7.222 statutaires) ainsi que l'arrêt du processus de
rationalisation. "Le conflit social d'aujourd'hui est le symptôme d'un choix politique inadapté", insiste la CSC Services Publics.
La FGTB condamne également la "militarisation des services publics" et déplore un manque d'investissements "dont le département de la Justice est une des premières victimes". "Le gouvernement Michel a systématiquement privilégié le coup de force à la concertation sociale", cingle l'organisation syndicale. "Les
lenteurs de la Justice, la surpopulation carcérale et les conditions de
vie inhumaines dans nos prisons, indignes d'une société développée,
sont de l'entière responsabilité de ce gouvernement."
Les agents pénitentiaires rejettent à l'unanimité le protocole d'accord
Et
cette situation inédite risque de se prolonger puisque le bras de fer
continue entre les autorités et les grévistes. Les agents pénitentiaires
de la prison de Saint-Gilles ont rejeté à l'unanimité le protocole
d'accord du ministre de la Justice Koen Geens et ont voté en faveur de
la poursuite du mouvement de grève lors d'une assemblée générale
organisée ce lundi après-midi, a indiqué Helmut Van Hoorne, délégué
syndical ACV.
Dès 13h, environ 200 agents pénitentiaires se sont
rassemblés à l'entrée de l'établissement. Parmi eux figuraient des
membres du personnel des prisons d'Andenne, de Leuze, d'Ittre et de
Forest. Un barrage filtrant a symboliquement été mis en place pour
sensibiliser le personnel qui entrait travailler. "La situation est tendue à Saint-Gilles, avec la chaleur notamment", a remarqué Helmut Van Hoorne. "On
travaille déjà dans des conditions difficiles. Avec la rationalisation,
on aura encore moins de temps pour faire toutes les activités avec les
détenus. A Saint-Gilles, on est à 10% en dessous du cadre prévu."
Aucun commentaire à l'issue d'une nouvelle réunion entre le ministre et les syndicats
En
début de soirée, ni le ministre de la Justice, Koen Geens, ni les
représentants des syndicats n'ont fait de commentaire à l'issue d'une
nouvelle réunion qui s'est terminée peu avant 19h00. Le mouvement de
grève dans les prisons de Wallonie et de Bruxelles, entamé il y a plus
de 2 semaines, se poursuivra donc bel et bien demain.
"Pas de commentaire", a déclaré Koen Geens à sa sortie de la réunion qui s'est tenue au SPF Emploi. Le ministre a toutefois répété qu'il n'avait "plus un euro à offrir aux gardiens de prison". Mutisme identique du côté syndical où l'on indique que d'autres rencontres devraient avoir lieu dans les jours à venir.
Le
Conseil de l'Europe a classé en mars la Belgique deuxième en Europe en
termes de surpopulation carcérale, après la Hongrie, sur la base de
chiffres datant de 2014. Cette surpopulation est plus marquée en
Wallonie et à Bruxelles qu'en Flandre.
09-05-2016
sudinfo.be
Une grue s'effondre sur une école à Courtrai: le grutier est dans un état critique (vidéo)
Rédaction en ligne
Une grue s’est effondrée sur le gymnase d’une école
lundi midi à Courtrai (Flandre occidentale). Le grutier, qui s’est
retrouvé coincé dans la grue, a pu être libéré mais se trouve dans un
état critique, a affirmé le bourgmestre de la commune, Rudolf
Scherpereel, lors d’une conférence de presse.
Trois autres travailleurs de l’entreprise de construction sont légèrement blessés.
«Heureusement, aucun enfant ne se trouvait dans la
zone sur laquelle la grue est tombée», avait précédemment déclaré Jan
Leenkneght, le porte-parole de la zone de secours Fluvia.
La grue a basculé peu avant midi. L’engin est alors
tombé sur le gymnase d’un bâtiment scolaire situé Senator Coolestraat à
Courtrai. Le gymnase a été détruit.
Un élève qui ne se sentait pas bien a toutefois été emmené à l’hôpital par précaution.
La grue a basculé peu avant midi. L’engin est tombé
sur le gymnase d’un bâtiment scolaire situé Senator Coolestraat à
Courtrai. Le gymnase est gravement endommagé et risque de s’effondrer.
Les élèves de l’école ont été rassemblés dans une
église située à proximité. Les parents qui en ont la possibilité peuvent
y récupérer leur enfant. A 14h00, une cinquantaine d’élèves
patientaient encore dans l’église.
Une étude de stabilité relative au gymnase est en
cours. L’école restera fermée mardi ou pas en fonction des résultats. Un
expert est également sur place en vue de déterminer les circonstances
de l’incident.
9-05-2016
rtlinfo.be
Marcinelle: une automobiliste percute mortellement un piéton qui promenait son chien
Photo envoyée par Fabian Vanhove
Une automobiliste a perdu le contrôle de son
véhicule, sans doute à la suite d'un refus de priorité de droite, ce
lundi à Marcinelle (Charleroi). Sa voiture a alors renversé un piéton
qui promenait son chien. La victime est décédée malgré l'intervention
des secours.
L'accident est survenu vers 14H00 dans la rue des
Chantiers à Marcinelle. Selon les premiers éléments recueillis par la
police locale de Charleroi, une automobiliste en licence aurait perdu le
contrôle de son véhicule à la suite d'un refus de priorité d'un autre
conducteur.
Sa voiture est alors partie en embardée et est montée
sur le trottoir, percutant un piéton qui promenait son chien, avant de
finir sa course contre un arbre.
A l'arrivée des secours, le
piéton était en arrêt cardiaque. Malgré les tentatives de réanimation
prodiguées par les ambulanciers, la victime est décédée.
Descendue
sur place, la police locale de Charleroi a ramené au poste la
conductrice pour un complément d'enquête. L'autre conducteur, à
l'origine de l'éventuel refus de priorité, aurait été identifié.
Après Platini et avant l’Euro, l’UEFA doit se trouver un nouveau patron
La succession est ouverte... A
un mois de l’Euro, l’UEFA va devoir se trouver un nouveau patron après
la démission de Michel Platini, alors qu’aucun grand nom ne s’est pour
l’instant manifesté pour succéder à l’ancienne star des Bleus,
définitivement mis hors-jeu par le TAS lundi.
Il va falloir rapidement combler
la vacance du pouvoir. L’instance européenne peut en effet
difficilement débuter sa compétition reine (le 10 juin, ndlr) sans chef.
Le
comité exécutif de l’instance dirigeante du football européen se
réunira le 18 mai à Bâle, lors d’une séance extraordinaire, pour
discuter des «prochaines étapes», dont le timing de l’élection
du futur président sans toutefois nommer d’intérimaire. Le scrutin
pourrait en théorie être organisée en urgence, sans le délai de trois
mois de campagne électorale prévu par les statuts.
L’Espagnol
Angel Maria Villar, en tant que vice-président senior, prend pour
l’heure la parole dans les grandes occasions, comme à Budapest le 3 mai
lors du dernier congrès de l’UEFA, assisté par Theodore Theodoridis,
secrétaire général par intérim.
Le journaliste et présentateur Yves Calvi, 56 ans, qui depuis 2001
animait l'émission "C dans l'air" sur France 5, rejoindra la chaîne
d'information LCI à la rentrée pour présenter "une émission quotidienne
en fin de journée", a annoncé la filiale de TF1, confirmant une
information du Figaro.
Il quittera donc "C dans l'air", émission diffusée en direct de 17H50 à
18H55, a confirmé France 5. C'est la première recrue prestigieuse
annoncée par LCI depuis son passage en clair début avril et un doublé
pour le groupe TF1, qui a aussi recruté pour la rentrée sur TF1 et sa
filiale TMC le présentateur Yann Barthès, venu du "Petit Journal" de
Canal+.
10-05-2016
rtlinfo.be
"Coucher" pour réussir? Voici jusqu'où certains jeunes sont capables d'aller...
D'après un
sondage réalisé en France, beaucoup de jeunes sont "prêts à tout" pour
réussir en entreprise, y compris, pour certains, à "coucher"...
Trois quarts des jeunes de 18 à 24 ans sont "prêts à tout" pour réussir en entreprise, et près d'un sur cinq irait même jusqu'à "coucher", mais ce qui est le plus efficace, tous âges confondus, c'est de "flatter les chefs", selon un sondage OpinionWay publié lundi.
Selon
ce sondage réalisé pour les éditions Tissot, spécialisées en droit du
travail, 53% des salariés interrogés se disent "prêts à tout" pour
réussir, davantage les hommes (59%) que les femmes (47%) et surtout les
jeunes (75%) contre 51% des 35-49 ans et 44% des 50 ans et plus.
Parmi les choses qu'ils sont prêts à faire dans cette optique, c'est la plus consensuelle des propositions, "communiquer en permanence sur ses réalisations", qui recueille le plus d'adhésions (53%).
Le mensonge
Mais 29% sont prêts à "ne pas dire exactement la vérité" à leurs supérieurs (39% des 25-34 ans), 22% sont prêts à "acquiescer à toutes les idées de leur boss, même celles qui ne leur semblent pas pertinentes", et 22% à "user de leurs charmes".
En queue de peloton, mais dans une proportion loin d'être négligeable, près d'un salarié sur 10 (9%) se dit "prêt à coucher" pour réussir et les 18-24 ans sont même près d'un sur cinq (18%).
Les clés de la réussite?
Mais pour les salariés interrogés, ceux qui réussissent le mieux en entreprise sont d'abord ceux qui "savent flatter leurs chefs" (43%) - mais seuls 26% des 18-24 ans le pensent, contre 48% des 50 ans et plus. Bien devant ceux "qui sont les plus compétents" (36%), dépassés aussi par ceux "qui n'agissent que dans leur propre intérêt" (38%).
Interrogés
sur leur perception de l'envie de réussir de leurs collègues, les
salariés sont 77% à les juger prêts à tout. Mais cela n'influe
paradoxalement pas sur la confiance qu'ils leur accordent, puisque 63%
estiment qu'il est possible de faire confiance à ses collègues, une
proportion qui tombe à 51% pour les 50 ans et plus.
Sondage
réalisé du 6 au 14 avril par questionnaire auto-administré en ligne
auprès d'un échantillon de 1.060 salariés issu d'un échantillon de 2.067
personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et
plus (méthode des quotas).
Selon les informations du Parisien, Léa Salamé quittera "On n'est pas
couché" à la fin de la saison. L'impertinence de la journaliste, dont la
pique lancée à François Hollande ("Non mais vous plaisantez?") avait
fait débat, semble avoir séduit les dirigeants de France 2.
Elle
va s'imposer comme "l'un des visages de la rentrée": en pleine course à
la présidentielle, elle présentera un magazine politique bi-mensuel aux
côtés de David Pujadas.
La dernière émission de Léa Salama avec
Laurent Ruquier sera diffusée le 25 juin prochain. Le mystère plane
encore sur le nom de son ou sa remplaçante.
Les mutualités et les syndicats ont accueilli froidement le projet de la
ministre fédérale de la Santé Maggie De Block de suivre les malades de
longue durée par questionnaire.
Syndicats
Selon
la CSC, "les travailleurs malades sont déjà soumis à des contrôles très
rigoureux. Ceux qui veulent réduire les allocations de maladie pour
limiter le nombre de malades de longue durée cherchent à tromper la
population", indique le syndicat chrétien dans un communiqué. La CSC
rappelle également que les partenaires sociaux avaient conclu en
décembre 2015 un accord selon lequel les malades de longue durée peuvent
reprendre le travail sur une base volontaire. Le syndicat libéral CGSLB
a pour sa part fait part de "l'urgence de donner la priorité à la mise
en application du travail supportable dans les entreprises".
370.000 malades de longue durée
La
Belgique comptait quelque 370.400 malades de longue durée fin 2014,
soit une augmentation de 64% en dix ans, ressort-il des chiffres de
l'Institut National d'Assurance maladie-invalidité (Inami) que L'Echo a
publié mardi. L'année passée, pas moins de cinq milliards d'euros ont
été versés en allocations dans ce cadre. Pour contrer ce phénomène, la
ministre de la Santé publique Maggie De Block projette de lancer une
procédure de suivi des malades via questionnaire.
Avec la grève, Marc Dutroux ne peut exercer son travail.
Pour autant, le détenu souhaiterait revoir à la hausse sa rémunération.
Grève ou pas, la vie à la prison de Nivelles de Marc Dutroux est
identique.
Comme le relate Sudpresse, qui cite "un observateur", "avec
cette grève, ce sont tous les autres détenus qui sont mis au régime de
Dutroux".
Pas de visite, sorties limitées et une douche tous les
jours. Pour autant, le monstre de Marcinelle est au chômage technique,
car il ne peut plus nettoyer la salle de sport et le préau, boulot qu'il
exerce depuis quelques mois maintenant. Une tâche faiblement rémunérée
(entre 0,75 et 0,99 euros de l'heure selon les différentes sources
consultées par le quotidien) mais pénible qu'il entendrait voir à un
niveau plus conforme.
"Le plus riche de la prison" À
ses yeux, le nettoyage du préau est un "travail insalubre" et non
un travail "technique" qui mériterait une augmentation évaluée entre 1,1
et 1,99 euros de l'heure.
Les
gains empochés étaient directement dépensés sous peine d'être reversés
aux familles des victimes. "Le supermarché de la prison livre
hebdomadairement deux bacs pleins de trucs pour Dutroux. De tous les
prisonniers, c'est lui qui achète le plus", disait à l'époque ce
gardien.
11-05-2016
sudinfo.be
Adrienne Koleszar, la policière qui fait monter la température sur la toile avec ses photos sexy! (photo)
Rédaction en ligne
La policière allemande fait le buzz avec les photos
qu’elle poste sur son compte Instagram. Avec plus de 246 000 followers,
Adrienne Koleszar déchaîne les passions… et donne presque envie de se
faire arrêter par la police !
Depuis quelques jours, Adrienne Koleszar fait le buzz
sur internet : l’agent de police allemande, super-sexy, dévoile ses
atouts sur la toile pour le plus grand plaisir des internautes.
Participant à des championnats de fitness partout dans le monde, elle
publie également des photos de ses entraînements, et en profite pour
donner quelques conseils.
La jeune femme affirme ne pas vouloir « devenir un
sex-symbol » : « Je veux juste être une source d’inspiration pour les
femmes de tous les âges. »
15-05-2016
lesoir.be
Eurovison 2016: les tops et flops de la soirée
MAXIME BIERMÉ
L’Eurovision a tenu ses promesses mais le nouveau système d’annonce des points n’a pas convaincu.
Il faut absolument
avoir au moins un ami suédois pour comprendre la popularité du Concours
Eurovision de la chanson qui se tenait samedi soir à Stockholm. Malgré
ses soixante ans, l’engouement reste intact dans les pays nordiques. Une
fois de plus, la télévision publique suédoise avait mis les petits
plats dans les grands.
Les Belges peuvent remercier les Australiens qui pour
leur deuxième participation au Concours nous ont offert douze points.
Que nous leur avons d’ailleurs rendu. Cela n’a malheureusement pas
suffit à faire la différence puisque nous terminons à la dixième place.
C’est l’Ukraine qui a remporté le Concours.
Au rayon des tops de la soirée on retiendra aussi la
performance des deux animateurs (dont Måns Zelmerlöw, le gagnant de
l’année dernière) sur « Love love, peace peace ». L’humour suédois a
traversé les frontières du continent européen le temps d’une chanson
déjà culte qui a permis de recroiser quelques gagnants qui avaient
marqué les dernières éditions. Et le commentateur belge Jean-Louis
Lahaye de conclure : «
Ce qu’il y a de bien, c’est qu’il n’y a plus besoin de se moquer de l’Eurovision, ils le font eux-mêmes.
»
Un humour qui peut aussi faire un joli flop quand on
laisse une fausse représentante de l’organisation de la soirée faire des
blagues. C’est un concours de chant pas de stand-up. Heureusement, elle
a rapidement été happée par la foule.
On regrettera aussi la nouvelle manière de distribuer
les points qui a instauré une certaine confusion avec un long tour des
42 pays pour connaître les votes du jury avant seulement de découvrir
ceux du public. Le système a le mérite d’être plus transparent mais le
téléspectateur n’est pas gagnant, la soirée s’allongeant encore plus,
contrairement à ce qui avait été promis par les animateurs. «
Je me demande si je ne préférais pas l’ancienne manière de voter. Je trouve ça terriblement frustrant
», a conclu judicieusement Maureen Louys.
Eurovision: la victoire de l’Ukraine, un succès «politique»?
La polémique enfle en Russie alors que la gagnante Jamala est de retour à Kiev.
La chanteuse
ukrainienne Jamala, gagnante du concours Eurovision avec une chanson
évoquant la déportation des Tatars de Crimée par Staline, a estimé
dimanche à son retour à Kiev que «l’histoire» et «la douleur» de
l’Ukraine avaient été «entendues». «Pour moi cela signifie que mon histoire a été
entendue, que l’histoire des Tatars de Crimée a été entendue, que
l’histoire de l’Ukraine a été entendue, que la douleur a été entendue»,
a déclarée l’artiste de 32 ans, les larmes aux yeux, accueillie par
plusieurs centaines de personnes à l’aéroport de Kiev Borispil. «Ceux qui ont dit que l’Europe avait d’autres
problèmes que nous, n’en avait rien à faire de nous, ont pu voir que ce
n’était pas vrai», a-t-elle souligné.
Une victoire «politique » ?
Dans «1944», Jamala, Tatare de Crimée, évoque la
déportation de son peuple par les autorités soviétiques lors de la
Seconde guerre mondiale. La Russie, qui a annexé la Crimée en mars 2014,
y avait vu des sous-entendus politiques et avait protesté, en vain,
contre ce choix.
Plusieurs responsables russes ont dénoncé dimanche
une victoire «politique» et non musicale aux dépens du candidat russe,
Sergueï Lazarev, favori des parieurs et arrivé en tête des votes des
téléspectateurs.
Dans la foule accueillant la chanteuse, nombreux sont
ceux qui étaient venus avec des drapeaux ukrainiens ou des Tatars de
Crimée, communauté musulmane qui s’oppose aux autorités russes et subit
une forte pression de leur part. «La Crimée, c’est l’Ukraine», ont
scandé les personnes rassemblées.
ndlr : de quel droit les organisateurs n'ont-ils pas disqualifié un "règlement de comptes" politique. Ce pays aurait dû être disqualifié et interdit à l'avenir de toute prestation Eurovision. Pour rappel : il s'agit d'un concours de chant... et non d'une tribune politique : HONTE aux organisateurs !
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