
03-11-2016
rtbf
Oleg Popov, le plus vieux clown du monde est décédé
La Russie et le monde du cirque pleurent le décès de l'un des
plus célèbres clowns du monde. Oleg Popov a été victime d'un arrêt
cardiaque ce mercredi dans son hôtel à l'âge de 86 ans, alors qu'il
était en tournée à Rostov-sur-le-Don dans le sud de la Russie. Il était
le plus vieux clown du monde en exercice. Toujours coiffé d'une tignasse
jaune paille et de sa casquette à carreaux, Oleg Popov a sillonné le
monde et illuminé la piste de cirque pour le plus grand plaisir des
petits et des grands.
"L'essentiel pour moi, c'est d'amuser tout le monde, expliquait-il à une équipe du JT de la RTBF lors d'une de ses tournées en Belgique. Les enfants comme les adultes. Le cirque, c'est une affaire de famille. Quand les petits l'aiment, ils reviennent plus tard avec leurs enfants. Je pense que le cirque vivra aussi longtemps que le soleil brille. Il a déjà connu des bons et des mauvais moments, mais il n'a pas fini de donner ce qui est en lui !"
Né en 1930, il était le fils d'un père horloger et d'une mère employée dans un magasin de photos. Rien ne le prédestinait au monde du cirque. Enfant, il rêvait d'être docteur, vitrier ou même pilote. C'est par hasard en accompagnant l'un de ses camarades, qu'il franchit à 14 ans les portes de l'école du cirque de Moscou. A 19 ans, il entame une carrière de clown au sein de la Compagnie d'Etat du cirque, où il percera en 1954 lorsqu'il devra remplacer le clown principal, blessé.
Il devient alors le premier clown de l'URSS à se produire dans les pays occidentaux. Pour les artistes, pas question de sortir du carcan de l’Union Soviétique. Ils sont constamment surveillés par des agents du KGB. Popov ne peut donc pas quitter le cirque. Néanmoins, il multiplie les galas dans le monde entier : en Belgique, en France, en Australie, au Japon, en Israël ou encore aux Etats Unis. Sa renommée est désormais internationale. Une renommée qui lui vaudra le prix de l’Artiste du peuple de l’URSS en 1969.
Après la chute de l'URSS en 1991, il pose ses valises en Allemagne où il s'installe avec sa famille dans une ferme. Chaque année, il partait en tournée pendant 6 mois. Oleg Popov avait toujours assuré que s'il devait recommencer sa vie, il redeviendrait clown. Victime d'un arrêt cardiaque, celui que l'on surnommait le "clown soleil" s'est éteint comme il le rêvait, en pleine tournée. Le Grand cirque de Moscou a salué sa "contribution inestimable à l'histoire de l'art clownesque russe et étranger", tandis que la Compagnie russe de cirque a souligné le "talent protéiforme" du clown.
"L'essentiel pour moi, c'est d'amuser tout le monde, expliquait-il à une équipe du JT de la RTBF lors d'une de ses tournées en Belgique. Les enfants comme les adultes. Le cirque, c'est une affaire de famille. Quand les petits l'aiment, ils reviennent plus tard avec leurs enfants. Je pense que le cirque vivra aussi longtemps que le soleil brille. Il a déjà connu des bons et des mauvais moments, mais il n'a pas fini de donner ce qui est en lui !"
Né en 1930, il était le fils d'un père horloger et d'une mère employée dans un magasin de photos. Rien ne le prédestinait au monde du cirque. Enfant, il rêvait d'être docteur, vitrier ou même pilote. C'est par hasard en accompagnant l'un de ses camarades, qu'il franchit à 14 ans les portes de l'école du cirque de Moscou. A 19 ans, il entame une carrière de clown au sein de la Compagnie d'Etat du cirque, où il percera en 1954 lorsqu'il devra remplacer le clown principal, blessé.
Il avait réussi à créer cette image unique d'un clown excentriqueC'est en 1956 que sa carrière est lancée. Oleg Popov participe à la première tournée internationale d'un cirque soviétique, organisée par les autorités afin d'améliorer l'image de l'URSS à l'étranger. Pour Vladimir Medinski, ministre russe de la Culture, "il avait réussi à créer cette image unique d'un clown excentrique, capable d'illuminer (le cirque) en n'apparaissant qu'une seule fois et chacune de ses performances était une fête".
Il devient alors le premier clown de l'URSS à se produire dans les pays occidentaux. Pour les artistes, pas question de sortir du carcan de l’Union Soviétique. Ils sont constamment surveillés par des agents du KGB. Popov ne peut donc pas quitter le cirque. Néanmoins, il multiplie les galas dans le monde entier : en Belgique, en France, en Australie, au Japon, en Israël ou encore aux Etats Unis. Sa renommée est désormais internationale. Une renommée qui lui vaudra le prix de l’Artiste du peuple de l’URSS en 1969.
Après la chute de l'URSS en 1991, il pose ses valises en Allemagne où il s'installe avec sa famille dans une ferme. Chaque année, il partait en tournée pendant 6 mois. Oleg Popov avait toujours assuré que s'il devait recommencer sa vie, il redeviendrait clown. Victime d'un arrêt cardiaque, celui que l'on surnommait le "clown soleil" s'est éteint comme il le rêvait, en pleine tournée. Le Grand cirque de Moscou a salué sa "contribution inestimable à l'histoire de l'art clownesque russe et étranger", tandis que la Compagnie russe de cirque a souligné le "talent protéiforme" du clown.
05-11-2016
lesoir
Juncker au «Soir»: «Il y a un sérieux problème de gouvernance en Europe»
Sur les dérapages verbaux d’Oettinger, Jean-Claude Juncker déclare qu’un « commissaire ne peut tenir de propos pareils. Je lui ai dit qu’il doit s’excuser auprès de ceux qui ont pu se sentir visés ». Mais il ajoute : « Je pense sincèrement que ses propos n’ont pas traduit sa pensée ».
Autre sujet chaud depuis plusieurs semaines, relancé par un avis juridique le blanchissant de toute faute, le passage de l’ex-président José Manuel Barroso chez Goldman Sachs. Jean-Claude Juncker y répond en faisant une annonce : il demande de porter à 3 ans, au lieu de 18 mois, la période de latence pour le président de la Commission avant de pouvoir basculer dans le privé.
Dans ce grand entretien, Jean-Claude Juncker estime encore que « le comportement de la Wallonie a été légitime » sur le dossier du Ceta. Il reconnaît enfin « qu’il y a un sérieux problème de gouvernance en Europe ».
13-11-2016
Belga
Victoire de Donald Trump - Les enfants Trump ne pourront pas être au gouvernement
Les quatre enfants adultes du nouveau président, Ivanka, Tiffany, Eric et Donald Jr. "ne pourront pas travailler au gouvernement parce que la règle du gouvernement c'est de refuser le népotisme", a déclaré sur CNN M. Giuliani, qui est cité comme possible ministre de la Justice.
Trois des enfants de Donald Trump, Ivanka, Eric et Donald Jr. font partie actuellement de l'équipe de transition qui prépare la future administration du président républicain. Le mari d'Ivanka, Jared Kushner, travaille aussi dans cette équipe. M. Giuliani, un des vice-présidents de l'équipe de transition, a proposé que les enfants du nouveau président élu reprennent l'empire économique de leur père au lieu de créer un groupe où Donald Trump n'aurait pas de droit de regard ("blind trust"). "Ce serait le genre de choses qui fonctionnerait si (Trump) mettait en place (...) une affaire que les enfants dirigeraient, avec un document juridique disant qu'il n'est pas impliqué, qu'il n'y pas d'intérêts, qu'il n'y a pas de participation", a précisé le conseiller de M. Trump. "Il faut concevoir quelque chose qui est très facile, quelque chose qui est juste. Quelque chose qui montre aux Américains que (Trump) n'a pas d'intérêts dans les affaires", a-t-il ajouté.
Patron d'un empire économique et président des Etats-Unis, Donald Trump s'expose à des conflits d'intérêts d'une magnitude sans précédent dans l'histoire politique américaine. En tant qu'entrepreneur, le président élu a fait fortune en bâtissant un vaste réseau d'hôtels et d'immeubles de luxe à la tête de la Trump Organization, le holding non coté qui chapeaute ses activités et dont les ramifications restent entourées de mystère.
© Belga
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© mediabeofficiel : novembre 2016
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