vendredi 2 décembre 2016

L'actu en 2016... page 12 du 01 au 15 décembre









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 01-12-2016
lemonde.fr

« Charlie Hebdo » va tenter de faire rire l’Allemagne

La première version étrangère de l’hebdomadaire satirique français paraît jeudi outre-Rhin, où l’attentat de janvier 2015 avait particulièrement ému.

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crédit photo : Radio Télévision Suisse

L’idée de cette première édition internationale n’est pas seulement née des bons chiffres de ventes constatés en Allemagne, premier pays d’export pour Charlie Hebdo : le titre y écoule environ 1 000 exemplaires de l’édition française par semaine (pour 60 000 ventes en kiosques et 50 000 abonnements en France). Le « numéro des survivants », paru une semaine après l’attentat du 7 janvier 2015, lors duquel douze personnes, dont huit membres de la rédaction, avaient été assassinées par les frères Chérif et Saïd Kouachi, avait été vendu à 70 000 exemplaires outre-Rhin.

200 000 exemplaires

« J’ai constaté en Allemagne un intérêt pour Charlie Hebdo, son message de fond et la libre expression. Je n’ai pas ressenti la même chose au Royaume-Uni ou en Espagne », explique Gérard Biard, le rédacteur en chef, qui se rappelle avoir reçu, en 2015, au palais de Sans-Souci, à Potsdam, près de Berlin, le prix M100 Media Award, attribué par des médias allemands à des personnalités européennes qui ont favorisé la liberté d’expression. Depuis, la rédaction de Charlie Hebdo a « gardé le contact » avec l’Allemagne, à l’occasion d’articles ou d’expositions, raconte M. Biard.
Après ce numéro de lancement tiré à 200 000 exemplaires, ce Charlie Hebdo en allemand devrait être amené à évoluer, en s’autonomisant, peu à peu, par rapport à la version française. Pour l’instant, il n’y a ni dessinateurs ni rédacteurs allemands, mais « nous espérons que le lancement suscitera des vocations », confie M. Biard.
En arrivant outre-Rhin, le journal ne sera, en tout cas, guère gêné par la concurrence. A l’exception des mensuels Eulenspiegel et Titanic, tirés à environ 100 000 exemplaires chacun, le marché allemand de la presse satirique n’est guère encombré. Est-ce une chance pour Charlie Hebdo ou, au contraire, le signe qu’il n’y a guère de place pour un nouveau tire ? Les prochaines semaines le diront.
« Se lancer en Allemagne est une expérience intéressante : comment faire réagir ou rire des gens qui ne rient pas forcément aux mêmes choses que nous ? », se demande M. Biard.
Dans un entretien accordé à la chaîne de télévision ARD, diffusé cette semaine, Riss, le directeur de la publication, qui signe pour l’occasion une plongée illustrée de quatre pages dans plusieurs villes allemandes, se veut, lui, résolument optimiste. En se disant convaincu que « l’humour est partout, même en Allemagne ».





01-12-2016
lefigaro.fr

Présidentielle : le retrait de Hollande unanimement salué par la classe politique


Le chef de l'État s'est exprimé, en direct, ce jeudi soir, depuis l'Élysée. Après avoir dressé un bilan de son mandat, il a annoncé qu'il ne serait pas candidat à sa succession.

Nous poursuivons ce suivi en direct

Quelques heures après l'annonce surprise de François Hollande de ne pas briguer un second mandat à l'Élysée, nous vous proposons de continuer à suivre les réactions, commentaires, à ce fait sans précédent dans l'histoire de la Ve République. Son premier ministre Manuel Valls va-t-il se lancer ? Quelles conséquences à gauche et sur la présidentielle à venir ? Que sera la fin du quinquennat de François Hollande ? Nous tenterons de répondre à ces questions. Suivez-nous ici
à 00:24
L'éditorial d'Alexis Brézet - «Le président qui ne l'était pas»
Il aurait pu, pour son dernier message politique, prendre un peu de hauteur. Adresser aux Français une exhortation solennelle. Laisser à la gauche un testament spirituel. Fouetter les énergies, transmettre le flambeau. Au lieu de cela, qu'avons-nous vu? La navrante tentative d'autojustification, prononcée d'une voix blanche, d'un homme comme absent de lui-même. Triste épilogue d'un quinquennat nul et non avenu: poussé vers la sortie par Manuel Valls, et plus encore par l'évidence d'un désastre, personnel et politique, qui n'a aucun précédent sous la Ve République, François Hollande n'a pas même cherché à sauver les apparences. Une fois encore, il ne décide rien: il s'incline. Il quitte la scène comme il l'a occupée: la cravate de travers, flottant dans des habits trop grands.

De son calamiteux mandat, que retiendront les Français? Quelques images qui ont consommé un abaissement sans équivalent de la fonction présidentielle: les insolences télévisées de Leonarda, la photo volée d'un scooter au petit matin, et ce livre, accablant concentré de cynisme et d'autosatisfaction, reflet d'un Narcisse au miroir des journalistes.
Quelques symboles aussi, encadrés dans le temps par les mines solennelles de Jean-Marc Ayrault et les coups de menton de Manuel Valls: la ridicule «boîte à outils» pour défaire à la fin ce qui avait été (mal) fait au début ; le risible «Ça va mieux», seriné contre toute évidence ; la fameuse «courbe» du chômage qui «s'inverse» toujours sans jamais baisser. La colère des «bonnets rouges» et les consciences violentées de la Manif pour tous. Les criailleries des «frondeurs» et l'insubordination des ministres. La pantalonnade de la déchéance de nationalité et le psychodrame de la loi El Khomri. Les attentats terroristes, bien sûr, dont il serait injuste de le rendre responsable mais qui ne l'ont tiré que fort tard, et bien imparfaitement, d'une coupable cécité face au péril islamiste.
Pour le reste, rien ; ou si peu. La France affaiblie en Europe et dans le monde. Le chômage, toujours. Les déficits et la dette qui caracolent gaiement. En politique, la gauche en mille miettes et le Front national premier parti de France. Il avait dit: «Moi président»...
Par quel ahurissant mystère un homme qu'on disait intelligent, subtil - et qui l'est assurément - a-t-il pu à ce point s'abîmer dans le ridicule et l'incurie d'une présidence sans grandeur ni vision? Les historiens essaieront peut-être de trancher le point, qui relève plus sûrement des psychologues. La France, elle, a déjà tourné la page. Elle sait bien qu'hier soir François Hollande n'a pas renoncé à briguer un second mandat. En vérité, il n'a jamais été président.
Alexis Brézet, directeur des rédactions du Figaro
à 00:01
La une du Figaro de demain
C'est la fin de ce live. Merci à tous de nous avoir suivi après que François Hollande a annoncé qu'il ne briguerait pas un second mandat à la présidence de la République. Retrouvez tous nos contenus sur le site du Figaro.fr.

Hier à 23:45
Gilbert Collard : «J'ai le sentiment que cette décision lui a été imposée»
Pour le député FN, la décision du chef de l'Etat est surprenante. "Je pensais que François Hollande se représenterait (...) Il a cédé sous la pression de Manuel Valls qui de toute évidence veut être candidat". "J'ai le sentiment que cette décision lui a été imposée".
Hier à 23:43
Aurélie Filippetti : la décision de Hollande traduit «un échec»
Interrogée sur France Info, la députée et ancienne ministre a estimé que la décision de François Hollande "était très responsable", "très lucide", et "digne", "même si elle traduit un échec qui est celui d'une ligne politique plus que d'un individu". 
Hier à 23:34
Philippe Poutou : «Cette décision ne nous fait ni rire ni pleurer»
Le leader du Nouveau parti anticapitaliste juge dans un communiqué que "cette décision ne nous fait ni rire ni pleurer. Ce sera sans doute Valls qui va prendre la relève pour assumer le bilan de ces cinq ans d'attaques antisociales et sécuritaires. Avec ou sans Hollande, comme avec ou sans Sarkozy, les classes populaires n'ont rien de bon à attendre des candidats de droite, d'extrême droite et de la gauche libérale".
Hier à 23:19
Comment le retrait de Hollande rebat les cartes à gauche
Il a pris tout le monde de court. Ou presque. Avec le retrait inédit du président de la République, le champ est libre pour Manuel Valls, qui tape du pied depuis des mois. Le premier ministre devrait annoncer sa candidature à l'élection présidentielle en passant par la primaire de la gauche dans les prochaines heures. Considéré par beaucoup au PS comme une personnalité clivante, certains pourraient s'engager pour lui faire barrage. Au sein des hollandais, le ralliement derrière lui ne sera en tout cas pas si naturel. «Manuel Valls est violent, il sera incapable de réussir le rassemblement», anticipait un proche de François Hollande, deux jours avant le cataclysme. Interrogé sur son engagement auprès du premier ministre s'il était candidat, un autre socialiste bottait en touche: «Je retournerai jardiner». Incarnation d'une ligne social-libérale avec une vision ferme de la République, Manuel Valls n'a pas que des amis dans sa propre famille politique. Ce qui rouvre complètement le jeu des candidatures en vue de l'élection présidentielle.

» EN SAVOIR PLUS : Comment le retrait de Hollande rebat les cartes à gauche
Hier à 23:15
Hollande et Sarkozy hors jeu en douze jours
Hollande hors jeu, Sarkozy battu: à douze jours d'intervalle, le président et son prédécesseur ont été amenés, dans des conditions différentes, à renoncer à leurs ambitions élyséennes, ouvrant une nouvelle période de l'histoire de la Ve République. Ce sera la première fois, depuis 1974 et la mort de Pompidou, qu'aucun candidat n'aura déjà exercé la fonction suprême de l'Etat. "J'ai décidé de ne pas être candidat à la présidence de la République": François Hollande a annoncé jeudi soir qu'il renonçait à 2017, lors d'une allocution télévisée d'une dizaine de minutes, prononcée d'une voix blanche. 

Douze jours auparavant, Nicolas Sarkozy, éliminé sèchement dès le premier tour de la primaire de la droite, avait été contraint de s'effacer, laissant la place à François Fillon, son ex-premier ministre, ravalé par lui au rang de "collaborateur" durant son quinquennat.
C'est sur une note sobre, un ton jugé "digne" par ses amis comme ses adversaires, que Nicolas Sarkozy avait tourné le dos à la politique, affirmant qu'il aurait désormais "une vie avec plus de passions privées et moins de passions publiques". Tous deux ont eu le même besoin dans leur discours de justifier leurs actions. "J'ai agi pour redresser la France et la rendre plus juste", a affirmé François Hollande. "Comme je l'ai toujours fait tout au long de ma vie politique, j'ai défendu mes valeurs", avait affirmé Nicolas Sarkozy, le 20 novembre. Même besoin également de mettre en garde contre "les extrêmes" pour Nicolas Sarkozy, contre "l'extrême droite" pour François Hollande.
"Depuis quelques années, le meilleur moment des présidents de la République, c'est le discours d'adieu", tweetait un internaute, traduisant le ressenti (ou l'ironie) exprimé par beaucoup d'autres. Cette sorte de gémellité entre l'ex et le futur ex président avait été scellée en 2005, lorsque ces deux pro-européens convaincus, avaient posé ensemble, tout sourire, pour Paris-Match. C'était quelques semaines avant le référendum sur la Constitution européenne, pour lequel ils avaient tous deux appelé à voter oui. Cette complicité affichée ne leur avait pas porté chance, 55% des Français ayant été sourds à leurs arguments, en votant contre le traité.
Hier à 23:05
Valérie Boyer : «Le président a enfin compris que son mandat était un échec»
Pas de mot tendre pour Valérie Boyer, vice-présidente du parti Les Républicains et porte-parole de François Fillon, après la décision de François Hollande.

 
Hier à 22:52
François Hollande mène déjà l'inventaire de son quinquennat
«Voilà ce que j'ai fait, voilà ce que j'assume devant vous, en revendiquant les avancées, en reconnaissant les retards, et même en admettant certaines erreurs». L'inventaire d'un mandat est toujours un passage délicat. François Hollande pourtant n'a pas attendu la fin de son quinquennat pour en dresser le bilan ce jeudi soir. Le président de la République est intervenu pour annoncer qu'il ne se présentera pas à nouveau pour la présidentielle de 2017, l'occasion pour lui de dresser la liste des accomplissements qu'il estime avoir atteint pendant son mandat et d'admettre aussi quelques regrets.

» EN SAVOIR PLUS : «Voilà ce que j'ai fait» : Hollande mène déjà l'inventaire de son quinquennat
Hier à 22:50
...et la presse étrangère
La décision du président de la République de ne pas se représenter pour un second mandat a fait vivement réagir les médias internationaux.

» EN SAVOIR PLUS : «Surprise», «rupture logique»: le renoncement de Hollande vu par la presse étrangère
Hier à 22:47
La décision de François Hollande vue par la presse française...

Hier à 22:39
«Si ça doit s'arrêter, ça s'arrête» : Hollande avait envisagé de renoncer
"Si ça doit s'arrêter, ce qui est tout à fait possible, ça s'arrête" : dans ses livres-entretiens avec des journalistes, François Hollande, qui a annoncé jeudi qu'il ne briguerait pas de second mandat, avait déjà laissé entrevoir cette possibilité.  "Ça continue ou ça s'arrête (...). Mais si ça doit s'arrêter, ce qui est tout à fait possible, ça s'arrête. Ce n'est pas une catastrophe personnelle", déclarait en septembre 2015 le chef de l'État, cité par les journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme dans leur livre "Un président ne devrait pas dire ça...", qui a déstabilisé la majorité depuis sa parution en octobre. "Si ce n'est pas présenté comme une forme de fuite, mais comme une forme de courage et d'honnêteté", confiait-il, "je pourrais dire: 'Écoutez, c'est moralement ma responsabilité de dire que je ne peux pas y aller parce que je n'ai pas réussi à atteindre mon objectif'".
Dans "Conversations privées avec le président" des journalistes Antonin André et Karim Rissouli, un autre livre de confessions paru en août, François Hollande évoquait aussi la possibilité de renoncer à un second mandat présidentiel. "L'envie, je l'ai, c'est mon inclination personnelle" mais "je ne ferais pas de choix de candidature si, d'évidence, elle ne pouvait se traduire par une possibilité de victoire", avait alors confié le chef de l'État. "Je ne peux pas être candidat simplement pour figurer", me mettre dans une posture "sacrificielle", confiait-il aussi à l'AFP en septembre, juste après la démission d'Emmanuel Macron. "L'idée du témoignage, à d'autres que moi!" Pour y aller, "je ne dis pas que la flamme doit être très élevée", mais il faut quand même que ça veuille dire quelque chose, avait-il expliqué.
Hier à 22:25
Claude Bartolone (PS) : Une décision qui «force le respect»
Le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone (PS), vient de publier un communiqué après la décision de François Hollande de ne pas briguer un second mandat lors de la prochaine élection présidentielle. «Je salue ce geste de dignité et de responsabilité. Cette décision difficile, prise au nom de l'intérêt supérieur du pays, force le respect. Par-là, François Hollande lègue aux socialistes, mais plus largement à la gauche, une immense responsabilité : celle de se placer au bon niveau de l'Histoire", a-t-il déclaré.


«Plus que jamais, nous devons à nos compatriotes une primaire digne, vivante et capable de rassembler toutes les forces de la gauche, des écologistes et des progressistes, pour permettre la victoire au printemps prochain. Il en va de la survie de notre modèle social. Il en va de la vigueur de nos valeurs », a-t-il ajouté.

Hier à 22:22
Hollande renonce à la présidentielle : la semaine où tout a basculé
La semaine qui a amené François Hollande à renoncer à se présenter a été riche en rebondissements. Retour sur les récents événements qui l'ont dissuadé de se porter candidat.

» EN SAVOIR PLUSHollande renonce à la présidentielle : la semaine où tout a basculé
Hier à 22:18
Carole Delga salue l'attachement de François Hollande «à la réussite de la France»
"C'est avec émotion que j'ai appris la décision du Président de la République. Elle constitue une première et un tournant dans la vie politique française. Elle illustre l'attachement de cet homme d'Etat à la réussite de la France. Elle marque, au-delà de ce que l'on pense de l'homme ou de sa politique, la difficulté d'exercer le pouvoir dans un pays marqué par le doute et inquiet quant à son avenir", a écrit la présidente de la Région Occitanie sur sa page Facebook. 
Hier à 22:13
Le retrait de François Hollande laisse le champ libre à Manuel Valls
Le premier ministre, qui préparait son éventuelle candidature de recours depuis plusieurs semaines, pourrait se lancer dans la course à la présidentielle dans les prochains jours.

» EN SAVOIR PLUS : Le retrait de François Hollande laisse le champ libre à Manuel Valls
Hier à 22:12
Jean-Christophe Lagarde : «François Hollande a reconnu l'échec de son quinquennat»
Le président de l'UDI a salué le fait que le chef de l'État ait "reconnu l'échec de son quinquennat". Il vient tout juste de découvrir sa décision car il était dans un avion au moment de l'allocution du président de la République.

Il vient 
Hier à 22:04
«La fin», la une du Figaro de demain
La une du Figaro daté de demain est bien entendu consacrée à la décision du chef de l'Etat de ne pas se présenter à l'élection présidentielle de mai prochain.

Hier à 22:02
Christiane Taubira : «Un moment de dignité comme la politique en était devenue avare»
L'ancienne Garde des Sceaux a salué un "moment de dignité comme la politique en était devenue avare".

Hier à 22:00
Approuvez-vous la décision de François Hollande de ne pas se représenter ?
Le chef de l'État a choisi de ne pas être candidat au renouvellement de son mandat. Approuvez-vous cette décision ? Répondez en cliquant ici
Hier à 21:57
Michèle Alliot-Marie : «L'échec d'une présidence qui n'aura fixé ni cap ni orientations fortes»
La député européenne Michèle Alliot-Marie et fondatrice de Nouvelle France, s'est exprimée après le choix de François Hollande.

Hier à 21:54
Hollande renonce à la présidentielle : Le Figaro répond à vos questions en vidéo
François Hollande a annoncé, ce jeudi soir, qu'il ne briguerait pas un second mandat à la tête du pays. «J'ai décidé de ne pas être candidat au renouvellement de mon mandat», a déclaré le chef de l'État. Une décision sans précédent pour un président sortant sous la Ve République. Et maintenant, que va-t-il se passer? Yves Thréard, directeur adjoint de de la rédaction du Figaro, a répondu à vos questions en vidéo sur le figaro.fr et la page Facebook du Figaro.
Hier à 21:50
Jean-Vincent Placé : «Beaucoup d'émotion personnelle devant tant de dignité»
Le secrétaire d'État chargé de la réforme de l'État et de la simplification, Jean-Vincent Placé, a exprimé son "émotion personnelle devant tant de dignité" après la décision de François Hollande.


Hier à 21:48
Marion Maréchal-Le Pen : «Les Français en ont fini avec le duo des trahisons Hollande-Sarkozy»
La député du Vaucluse s'est réjoui  d'en avoir fini "avec le duo des trahisons Hollande-Sarkozy".


Hier à 21:42
Surprise, la droite loue la «lucidité» de Hollande
Moins d'une semaine après le résultat de la primaire à droite, celle-ci n'aurait pas imaginé commenter la désertion de François Hollande. «Un président de la République qui ne se présente pas, poussé par son ex-ministre de l'Economie et par son premier ministre, c'est inédit et choquant», souffle le député Benoist Apparu, aussitôt l'intervention présidentielle terminée. Quelques minutes après, c'est François Fillon, le candidat de la droite à l'élection présidentielle, qui réagit par communiqué: «Ce soir, le président de la République admet, avec lucidité, que son échec patent lui interdit d'aller plus loin». «Plus que jamais, l'alternance et le redressement de la France doivent être bâtis sur des bases solides: celle de la vérité sans laquelle il n'y a pas de confiance des Français et celle de l'action courageuse seule en mesure d'obtenir des résultats», poursuit l'ancien premier ministre.

» EN SAVOIR PLUS : Surprise, la droite loue la «lucidité» de Hollande
Hier à 21:34
Florian Philippot (FN) : «Deux présidents hors course en deux semaines»
"Deux présidents de la République hors course en 2 semaines. À quoi cela servirait-il de faire courir leurs doublures, leurs seconds ?", a réagi le vice-président du Front national Florian Philippot.

Hier à 21:30
Benoît Hamon reconnaît le «courage» de la décision «pas simple» de François Hollande
Le candidat à la primaire à gauche Benoît Hamon a "salué la décision" de François Hollande. Une décision qui, selon lui, n'est "pas simple" et "demande du courage."

"C'est une décision éminemment respectable, elle ouvre la voie au premier ministre qui avait jusqu'ici beaucoup joué des coudes pour en arriver là", estime-t-il. 
Hier à 21:30
Harlem Désir : «L'histoire rendra justice à son action pour la France»
Le secrétaire d'État aux Affaires européennes a tenu lui aussi à saluer "la décision courageuse" du chef de l'État.


Hier à 21:29
Nadine Morano : «Pris au piège, Hollande bat en retraite»
Pour la députée européenne, le chef de l'État n'avait d'autres choix que de ne pas se représenter devant les Français. "Malgré un réquisitoire sous forme d'autosatisfaction de son action, François Hollande sait que son quinquennat est un désastre et que ses confidences aux journalistes qui en ont tiré un livre signant sa forfaiture le condamnaient aux yeux des Français", écrit-elle sur Facebook.


Hier à 21:26
Najat Vallaud-Belkacem salue la décision «d'un homme qui a toujours fait passer l'intérêt de la Nation avant sa personne»
La ministre de l'Éducation nationale a publié un communiqué sur Facebook pour saluer "la décision d'un homme d'État qui a toujours fait passer l'intérêt de la Nation avant sa personne".

"Les attaques injustifiées et d'une rare virulence de ces dernières semaines contre sa personne n'avaient pour objectif que d'hystériser le débat, de faire voler en éclat la Gauche pour l'empêcher d'incarner un espoir pour les Français, et de rendre inéluctable l'affrontement entre la droite et l'extrême droite au second tour de l'élection présidentielle", a-t-elle ajouté.

"Le président Hollande a été ce soir fidèle à ses engagements, fidèle à son histoire, et fidèle aux siens, à tous ceux des Français qui attendent une Gauche rassemblée et offensive pour changer la vie. Il n'a pas fait de sa personne un préalable. Face à l'Histoire et face au pays, il a pris la décision qui lui semblait la mieux à même de permettre à la Gauche de continuer à incarner l'espoir. Malgré la tristesse, je comprends ce choix, et le respecte", précise-t-elle enfin.


Hier à 21:23
Bruno Le Roux : «François Hollande est et restera un grand président»
Pour le chef de file des socialistes à l'Assemblée nationale, la décision du chef de l'État représente "une immense tristesse pour tous ceux qui l'ont accompagné durant ce quinquennat. Sa décision a la même force que son action: penser l'intérêt supérieur de la France, préserver l'unité des Français. François Hollande est et restera un grand président".
Hier à 21:21
Valls salue «le choix d'un homme d'État»
La décision de François Hollande de ne pas se représenter est "le choix d'un homme d'État", a salué jeudi soir Manuel Valls, faisant part à l'adresse du chef de l'État de ses "émotion", "respect", "fidélité" et "affection". "C'est un choix difficile, mûri, grave. C'est le choix d'un homme d'État. Je veux dire à François Hollande mon émotion, mon respect, ma fidélité et mon affection", écrit le chef du gouvernement dans un communiqué, sans évoquer son éventuelle candidature à la primaire initiée par le PS.

"Ministre de l'Intérieur, puis premier ministre, je connais son courage, son sang-froid, celui d'un grand dirigeant, qui a su affronter des épreuves douloureuses pour la France. Il l'a fait avec un souci constant, protéger nos concitoyens, réformer notre pays, assurer son redressement dans la justice", affirme le premier ministre. "L'action se poursuit et je ne doute pas que ce quinquennat sera apprécié à sa juste valeur: cinq années de progrès pour la France et les Français", écrit encore Manuel Valls.

Le premier ministre s'exprimera samedi lors d'un congrès de la Belle Alliance Populaire, un mouvement de rassemblement de la gauche lancé au printemps. 
Hier à 21:19
Pour Jean-Pierre Chevènement, «François Hollande a su trouver une issue digne à une situation qui ne l'était pas»
L'ancien ministre, président du club République Moderne, a réagi à la décision du chef de l'État.


Hier à 21:19
Arnaud Montebourg : «Une décision sage, réaliste, lucide et hautement respectable»
Arnaud Montebourg, candidat à la primaire de la gauche, a salué la décision "sage, réaliste, lucide et hautement respectable" de ne pas briguer un deuxième mandat, prise jeudi soir par François Hollande.

"Il a exprimé sa décision à la télévision, dans un plaidoyer émouvant qui montrait à quel point il était touché", a souligné, en ouverture d'une réunion publique à Pau, l'ancien ministre de l'Economie de François Hollande jusqu'à son départ du gouvernement en août 2014. "Il a pris une décision sage, réaliste, lucide et hautement respectable qui permet à la gauche de préparer sereinement son avenir, qui commence aujourd'hui avec la primaire de la gauche", a-t-il poursuivi, quelques heures après avoir officialisé sa candidature en déposant les parrainages requis.
"Il a choisi de clore par lui-même et de lui-même un quinquennat au bilan et au contenu controversés et contestés", a encore souligné M. Montebourg. "Il a pris en conscience une décision difficile et hautement courageuse qui lui vaudra la reconnaissance du peuple de gauche", a-t-il encore estimé. 
Hier à 21:13
Sylvia Pinel (PRG) : «François Hollande a montré son sens aigu des responsabilités»
"En annonçant ce soir qu'il entendait être pleinement président jusqu'au terme de son mandat et qu'il renonçait de fait à toute candidature en 2017, François Hollande a montré son sens aigu des responsabilités. Il prouve ainsi, en dignité, qu'il place la France au-dessus de toute autre considération", a déclaré Sylvia Pinel, du Parti radical de gauche (PRG) à la présidentielle 2017.


"L'élection présidentielle qui s'ouvre prend désormais une nouvelle dimension dont chacun devra tenir compte. François Hollande laisse le pays dans une situation assainie et offre à la gauche de nouvelles perspectives pour rassembler les Français", a-t-elle ajouté.
Hier à 21:04
Pour Gérard Larcher, cette décision «clôt cinq années perdues pour la France»
Le président du Sénat juge que le "bilan de ce quinquennat n'avait pas d'autre issue".


Hier à 21:03
Patrick Kanner : «Immense respect pour la décision courageuse et pleine de dignité»
Le ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, Patrick Kanner, a exprimé son "respect" après la décision de François Hollande de ne pas se présenter à l'élection présidentielle de 2017.


Hier à 21:02
Jean-Michel Baylet juge que François Hollande est «un grand président»
Le ministre de l'Aménagement du territoire a salué "la dignité" du chef de l'État, et a tenu à rendre hommage à "son bilan remarquable au service de la France".

Hier à 21:01
Jean-François Copé salue une «décision digne et lucide»
Le candidat à la primaire de la droite et du centre, défait au premier tour, a salué à son tour la décision du président de la République, tout en critiquant son bilan.


Hier à 20:59
Jean-Frédéric Poisson : Hollande prend «enfin» conscience de la mission du président
Le président du Parti chrétien-démocrate (PCD) a estimé que François Hollande prenait "enfin" conscience de la mission du président de la République.


Hier à 20:58
Plantu rend hommage à François Hollande
Le dessinateur de presse a tenu à réagir à la décision du chef de l'État de ne pas briguer un second mandat.


Hier à 20:50
Pierre Moscovici salue «la décision difficile et émouvante» de François Hollande
L'ancien ministre devenu commissaire européen aux Affaires économiques a tenu à saluer la décision du chef de l'État.


Hier à 20:46
Pour Jean-Christophe Cambadélis, François Hollande a «décidé de protéger son bon bilan»
Le premier secrétaire du Parti socialiste a salué la "hauteur de vue" et "le sens de la France" du chef de l'État, avant d'ironiser sur le bilan du président.

Hier à 20:44
Bernard Accoyer (LR) : «Un terrible aveu d'échec»
Le nouveau secrétaire général du parti Les Républicains Bernard Accoyer estime que le retrait de François Hollande "résonne comme un terrible aveu d'échec de son quinquennat qui aura été synonyme de reculs majeurs pour la France".

"François Hollande laisse donc la France dans un état grave. Il laisse aussi la gauche dans un état de confusion totale", ajoute-t-il.
Hier à 20:42
François Hollande tire les conséquences «d'une longue série d'échecs», pour Éric Woerth
Pour l'ancien ministre LR, Éric Woerth, François Hollande est réaliste.

Hier à 20:39
Pour Rama Yade, «la cruauté du système a eu raison» de François Hollande
La candidate à la présidence de la République en mai prochain juge que la décision du chef de l'État "force le respect".

Hier à 20:38
«Manuel Valls devra porter le projet à gauche au nom du PS», d'après Christian Eckert
D'après le secrétaire d'État chargé du Budget et des Comptes Publics, Christian Eckert, "Manuel Valls devra porter le projet à gauche au nom du PS".
Hier à 20:36
Comment la popularité de François Hollande s'est effondrée
Crédité de 55% d'opinions favorables dans le baromètre Kantar Sofres-OnePoint du Figaro Magazine de juin 2012, François Hollande n'est resté que quelques mois au-dessus de la barre des 50%, avant de poursuivre sa plongée rapide dans les sondages.
Dans notre baromètre du mois de décembre 2016, il est crédité de 13% d'opinions favorables.

Le mois dernier, il touchait le fond avec 11% d'opinions favorables.

Hier à 20:33
François Fillon loue la «lucidité» de François Hollande
"Ce soir, le président de la République admet, avec lucidité, que son échec patent lui interdit d'aller plus loin", a réagi François Fillon dans un communiqué. Pour le candidat de la droite et du centre à l'élection présidentielle, "l'alternance et le redressement de la France doivent être, plus que jamais, bâtis sur des bases solides".

Hier à 20:31
«L'histoire rendra justice à François Hollande», selon André Vallini
Le secrétaire d'État au ministère des Affaires étrangères, André Vallini, salue l'action de François Hollande, pour la France.

Hier à 20:31
Jean-Luc Bennahmias (UDE) : «L'homme politique cède la place à l'homme d'État»
Candidat à la primaire à gauche et fondateur de l'Union des démocrates et écologistes (UDE), Jean-Luc Bennahmias, soutien de François Hollande, estime que le président "cède définitivement la place à l'homme d'État l'histoire reconnaîtra ce que la France lui doit."

Hier à 20:29
VIDÉO - François Hollande sur l'extrême droite : «Le plus grand danger, c'est le protectionnisme, c'est l'enfermement»
Hier à 20:29
François de Rugy : «On pensait que Hollande voulait se battre jusqu'au bout»
Pour l'écologiste François de Rugy, l'annonce de François Hollande est une surprise.

Hier à 20:28
VIDÉO - Pour François Hollande, «le projet de François Fillon met en cause le modèle social français»
Hier à 20:28
Nathalie Kosciusko-Morizet (LR) juge que cette décision est «la plus lucide» du quinquennat
L'ancienne candidate à la primaire de la droite et du centre, sur France 2, a jugé que cette décision est "la plus lucide" de François Hollande.

Hier à 20:26
Une décision «digne et courageuse» pour Jean-Marc Ayrault
Le ministre des Affaires étrangères et ancien premier ministre salue la décision digne du président de la République.

Hier à 20:26
François Hollande renonce à être candidat en 2017
C'est une première historique. Plus impopulaire que jamais, et contesté jusque dans son propre camp, le chef de l'État, François Hollande, a annoncé ce jeudi soir qu'il renonçait à être candidat à la présidentielle de 2017. «Aujourd'hui je suis conscient des risques que ferait courir une démarche - la mienne - qui ne rassemblerait pas largement. Aussi, j'ai décidé de ne pas être candidat à l'élection présidentielle, au renouvellement de mon mandat», a-t-il déclaré lors d'une allocution surprise prononcée en direct depuis l'Élysée.

EN SAVOIR PLUS : » François Hollande renonce à être candidat en 2017

Hier à 20:24
Bruno Retailleau (LR) juge que François Hollande «entrait dans l'histoire... en sortant par la petite porte»
Le sénateur de Vendée, et proche de François Fillon, a jugé que "Hollande entrait dans l'histoire en sortant par la petite porte".

Hier à 20:23
Une décision "logique" selon Éric Ciotti (LR)
Le président du département des Alpes-Maritimes revient sur la décision "logique" de François Hollande au vu de son "bilan catastrophique"

Hier à 20:19
Pour Jean-Luc Mélenchon, «la déclaration de Hollande est un énorme aveu d'échec»
Le candidat de La France insoumise a réagi à sa manière à la non-candidature du président de la République.

Hier à 20:19
Benoist Apparu (LR) est choqué
L'ancien ministre Benoist Apparu réagit auprès du Figaro : "Un président de la République qui ne se présente pas, poussé par son ex-ministre de l'Economie et par son premier ministre, c'est inédit et choquant. C'est le signe du délitement de ce mandat et de tous les acteurs principaux du quinquennat".
Hier à 20:18
Emmanuel Macron : «Une décision courageuse et digne»
Emmanuel Macron, l'ex-ministre de l'Économie et candidat à la présidentielle, invité d'RTL ce jeudi soir, a commenté la décision de François Hollande : "Je pense que c'était une allocution extrêmement difficile pour le président de la République. C'est une décision courageuse et digne. J'ai toujours exprimé mon respect à l'égard de la personne et de la fonction. Je ne ferai pas d'autres commentaires. Je pense que c'est une décision qu'il a prise en conscience ; c'est une décision difficile à exprimer. Compte tenu du contexte, c'était une décision courageuse à prendre et il l'a prise."

"Il y a une part de décence dans la vie politique. J'ai eu des désaccords avec François Hollande ; néanmoins à titre personnel je suis extrêmement senesible au message qu'il vient de faire devant les Français. Prendre cette décision n'est pas neutre quelle que soit son impopularité actuelle", a-t-il conclu.
Hier à 20:17
Serge Moati salue «l'allure, la fierté et la lucidité» de Hollande
Le réalisateur, proche de François Mitterrand, rend hommage au président de la République.

Hier à 20:16
Luc Chatel : «La seule bonne décision de son quinquennat ?»
Selon le député de la Haute-Marne, l'annonce de François Hollande pourrait être la "seule bonne décision de son quinquennat".

Hier à 20:15
Yannick Jadot (EELV) juge que cette annonce «conclut un quinquennat gâché»
Le candidat des écologistes à la présidentielle a réagi à la déclaration du chef de l'État, qui a décidé de ne pas se représenter.

Hier à 20:13
Nicolas Dupont-Aignan juge que la décision de François Hollande est «digne»
Les première réactions tombent à l'annonce de François Hollande de ne pas briguer un second mandat. Nicolas Dupont-Aignan, candidat à l'élection présidentielle et président de Debout la France, a jugé "digne" la décision du chef de l'Etat.

Hier à 20:11
«Ce qui est en cause, ce n'est pas une personne mais l'avenir du pays»
"Je le fais en prenant toute ma responsabilité, mais aussi en appelant à un sursaut progressiste. Ce qui est en cause, ce n'est pas une personne mais l'avenir du pays. Je ne veux pas que la France s'expose à des aventures dangereuses", a poursuivi le chef de l'État.

"Dans les mois qui viennent, mon devoir sera de diriger ce pays en m'y consacrant pleinement et dans le dévouement le plus total à la République", a-t-il conclu.
Hier à 20:10
François Hollande : «J'ai décidé de ne pas être candidat à l'élection présidentielle»
"Pour ma part, je ne suis animé que par l'intérêt supérieur du pays. Le pays, depuis plus de quatre ans et demi, je l'ai servi avec sincérité, avec honnêteté. L'expérience m'a apporté l'humilité qui est indispensable à l'action publique et face aux épreuves j'ai pu avoir une capacité inépuisable de résistance devant l'adversité. Mais le pouvoir, l'exercice du pouvoir, les lieux du pouvoir et les rites du pouvoir ne m'ont jamais fait perdre ma lucidité ni sur moi-même ni sur la situation car je dois agir. Et aujourd'hui, je suis conscient des risques que ferait courir une démarche, la mienne, qui ne rassemblerait pas largement autour d'elle", a déclaré François Hollande.

"Aussi, j'ai décidé de ne pas être candidat à l'élection présidentielle, au renouvellement donc de mon mandat. Je tenais ici à vous en faire part directement, comme je m'y étais engagé, au début du mois de décembre, tel que je l'avais annoncé", a annoncé le chef de l'État.

Hier à 20:08
«Je porte un bilan, j'en assume la responsabilité»
"Je porte un bilan, et j'en assume la responsabilité, a-t-il poursuivi. Dans cinq mois, vous aurez un choix à faire pour le pays. La droite a choisi François Fillon. Je juge que son programme met en péril notre modèle social". Le président a ensuite fustigé l'extrême droite : "Le plus grand danger est le protectionnisme. Je veux que le travail en France puisse être soutenu et valorisé. Comme président de la République, je dois diriger l'État. J'ai la responsabilité d'assurer le fonctionnement régulier de nos institutions jusqu'au terme de mon mandat. Comme socialiste, je ne peux me résoudre à la dispersion de la gauche". 
Hier à 20:06
Hollande : «Je n'ai qu'un seul regret, avoir proposé la déchéance de nationalité»
"Notre arsenal pénal a été durci sans mettre en cause nos libertés. J'ai procédé à des recrutements massifs dans notre police. Sur les réfugiés, j'ai tenu à ce que la France puisse prendre sa part car nous sommes la France, pour que nous puissions toujours être notre France. Je n'ai qu'un seul regret, avoir proposé la déchéance de nationalité car elle a provoqué des divisions. Au niveau européen, j'ai agi en votre nom pour que l'austérité soit terminée. Voila ce que j'ai fait, voila ce que j'assume devant vous et même en admettant certaines erreurs", ajoute le président François Hollande.

Hier à 20:05
«Les résultats arrivent», dit Hollande
"Les résultats arrivent, a poursuivi le chef de l'État. Plus tard que je les avais annoncés. Mais ils sont là. L'investissement, la consommation. Et depuis le début de l'année, le chômage diminue. Mais il reste à un niveau trop élevé".

"Le monde, l'Europe, la France ont traversé des épreuves particulièrement graves. Je suis intervenu en Centrafrique, en Irak, au Mali pour combattre le terrorisme islamique. Dans ces circonstances éprouvantes, j'ai voulu que soit maintenue la cohésion nationale".

Hier à 20:03
Hollande : «J'ai fait avancer les libertés, j'ai pris tous les risques»
"J'ai voulu que l'école dispose de moyens indispensables, ceux-là même qui lui avaient été ôtés dans la période précédente. J'ai fait avancer les libertés. L'égalité entre les femmes et les hommes a été renforcée. J'ai également modernisé notre démocratie avec la réforme territoriale. L'engagement majeur que j'avais pris devant vous, c'était de faire baisser le chômage. J'ai pris tous les risques. J'ai allégé les charges des entreprises, j'ai aidé les embauches, j'ai fait en sorte que la formation professionnelle soit une grande priorité", continue le président.

Hier à 20:02
Le président commence à s'exprimer
"Je m'adresse à vous pour vous faire connaître ma décision dans la perspective de la prochaine élection présidentielle", déclare le président, avant de faire un bilan de son action.

"J'ai voulu que notre modèle social puisse être conforté. Je l'ai même élargi pour permettre à ces travailleurs qui ont commencé tôt leur vie professionnelle de partir plus précocement à la retraite".

"J'ai voulu aussi placer la France au premier rang du combat contre le réchauffement climatique" a poursuivi le président.

Hier à 19:58
La gauche survivra-t-elle à François Hollande ?
Que va annoncer le président François Hollande ce soir ? En octobre dernier, Laurent Bouvet, professeur de Science politique à l'Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, estimait que le chef de l'État avait précipité dans l'abîme toute la gauche française de gouvernement.

» EN SAVOIR PLUS : La gauche survivra-t-elle à François Hollande ?
Hier à 19:52
Pourquoi François Hollande ne sera probablement pas candidat en 2017
Le président François Hollande est au plus bas dans les sondages depuis plusieurs mois. En avril dernier, Thomas Guénolé, politologue et maître de conférence à Sciences Po, prédisait que l'actuel locataire de l'Elysée ne serait pas candidat en 2017.

» EN SAVOIR PLUS : Pourquoi François Hollande ne sera probablement pas candidat en 2017
Hier à 19:47
La baisse du chômage, la condition sine qua non de sa candidature ?
Le président de la République avait conditionné sa candidature à l'élection présidentielle à « l'inversion de la courbe du chômage ». Toutefois, tout au long de son mandat, François Hollande compte seulement deux trimestres avec un taux de chômage sous les 10%.
Par ailleurs, nous vous expliquons pourquoi les chiffres du chômage d'octobre ne pèseront pas sur le choix de Hollande.
Hier à 19:46
Le président-candidat, un automatisme qui a du plomb dans l'aile
En France, davantage que dans d'autres démocraties modernes, un président en exercice est présumé candidat à sa réélection. Et cette candidature s'impose en théorie à son parti. Mais mandat après mandat, cette automaticité semble progressivement remise en cause. Il n'y a que deux exemples où la question n'a même pas été évoquée. Celui de Georges Pompidou, décédé des suites de la maladie de Waldenström en avril 1974, qui n'a pu mener son septennat jusqu'au bout. Et celui du général de Gaulle, à qui il paraissait inconcevable de devoir se mettre au niveau de ceux qu'il percevait comme de vulgaires aspirants. Mis en ballottage à la surprise générale lors de l'élection de 1965, il a été réélu sans difficulté, en se contentant du minimum syndical. Une pratique inenvisageable depuis.

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Hier à 19:43
Le billet politique - Le dégorgeur de l'Élysée
Le silence de l'Élysée les rend fous. Le mystère sur les intentions de François Hollande les obsède. Surpris, désemparés, presque hagards, les socialistes errent dans la purée de pois de la candidature du président. Que va-t-il faire? Quand va-t-il le faire? Et comment? Avec qui? Et surtout pourquoi? Du coup, ils parlent. Tous. Expliquent ce qu'ils attendent du chef de l'État. Annoncent ce qu'ils feront ensuite. Détaillent comment ils comptent s'y prendre. Et François Hollande n'a plus qu'à prendre des notes et élaborer sa stratégie. C'est sa méthode.

» POUR EN SAVOIR PLUS : Le dégorgeur de l'Elysée
Hier à 19:39
L'édito de Guillaume Tabard : «Hollande candidat? Entretenir le suspense ne crée pas une attente»
Le suspense est un art. Qui requiert quelques conditions auxquelles François Hollande est loin de satisfaire. Candidat ou pas? Aujourd'hui ou dans dix jours? Via la primaire ou en dehors? Depuis quelques jours, ces questions tournent en boucle. Au fil des rendez-vous présidentiels, des rumeurs habilement distillées, des scénarios secrètement envisagés, les réponses fluctuent. Mais loin de créer une attente, elles provoquent une exaspération croissante.

» POUR EN SAVOIR PLUS : "Hollande candidat? Entretenir le suspense ne crée pas une attente"
Hier à 19:34
La campagne de la primaire à gauche a débuté ce jeudi
François Hollande va-t-il annoncer sa candidature à la primaire à gauche, ou directement à l'élection présidentielle de 2017 ? Depuis l'annonce par le PS d'une primaire prévue les 22 et 29 janvier 2017, sept candidats se sont déclarés à ce jour : Arnaud Montebourg, Benoît Hamon, Marie-Noëlle Lienemann, François de Rugy, Jean-Luc Bennahmias, Gérard Filoche et Pierre Larrouturou. Le point sur leurs parcours, leurs idées et leurs ambitions.

» Qui sont les sept candidats à la primaire à gauche ?
Hier à 19:28
Bonsoir à tous et bienvenue sur ce live : François Hollande s'exprime ce soir à 20h
François Hollande doit s'exprimer ce jeudi soir à 20 heures en direct à la télévision depuis l'Élysée, a annoncé son entourage ce jeudi soir. "Le président de la République s'exprimera à 20 heures en direct de l'Élysée", a déclaré l'entourage du président de la République, se refusant à toute autre précision. Le chef de l'État devrait annoncer à cette occasion si oui ou non il est candidat à un second mandat présidentiel, alors que la campagne pour la primaire à gauche a débuté ce jeudi.

Les spéculations autour de ses intentions ont redoublé cette semaine alors que Manuel Valls n'a pas exclu de se présenter lui aussi à la primaire de la gauche. Elles portent également sur les intentions du chef de l'État d'en passer ou non par cette primaire. Quoi qu'il en soit, François Hollande s'il se présentait, devrait affronter une impopularité à des niveaux records et une confiance tombée à des niveaux abyssaux.

 




1-12-2016
7sur7.be

Pacte d'excellence: les plans finalisés 

© photo news.
Le groupe central du Pacte pour un enseignement d'excellence s'est accordé jeudi, à l'issue d'une ultime journée de travail, sur un vaste plan pour refonder sur quinze ans le système éducatif francophone, jugé aujourd'hui inefficace tout en perpétuant les inégalités sociales.
Les représentants des pouvoirs organisateurs de l'enseignement, les syndicats et les représentants des associations de parents, qui composent le groupe central, ont mis jeudi peu après 18h00 un point final à un document de quelque 200 pages qu'ils vont à présent chacun soumettre à leur base pour avis.

Fruit d'un travail considérable de près de deux ans, le document préconise une réforme en profondeur de l'école francophone, notamment en renforçant l'enseignement maternel qui devrait à terme être renforcé d'un millier d'instituteurs.

Parallèlement, le tronc commun sera rallongé d'une année, soit jusqu'en fin de 3e année du secondaire.

Outre les cours généraux actuels, les élèves y bénéficieront aussi de périodes orientées vers les compétences manuelles et technologiques.

Les épreuves certificatives du CEB (organisé en fin de primaire) et du CE1D (fin de 2e secondaire) seront remplacées par un CTC (certificat du tronc commun) en fin de 3e année.

Après celle-ci, les élèves pourront terminer leur scolarité dans l'enseignement général qui préparera à des études supérieures, ou choisir plutôt une filière qualifiante orientée vers l'exercice direct d'un métier.

Enseignants mieux préparés
Aujourd'hui championne toutes catégories du redoublement, l'école de demain limitera fortement cette pratique qui coûte quelque 400 millions d'euros à la Fédération à l'aide d'une remédiation précoce. Pour être plus efficaces, les enseignants seront mieux préparés à leur métier et bénéficieront d'une formation continuée accrue.

Comme évoqué depuis plusieurs mois, le calendrier scolaire sera lui aussi réaménagé. Les vacances d'été seront ainsi quelque peu raccourcies pour permettre l'insertion d'une semaine de congés supplémentaire à la Toussaint ainsi qu'à Carnaval.

Pour des raisons opérationnelles et financières, ces différentes réformes seront toutefois étalées et phasées jusqu'à l'horizon 2030.

Loin du milliard et demi évoqué un temps au printemps dernier, ces réformes devraient coûter quelques centaines de millions d'euros, un montant néanmoins conséquent pour une Fédération au budget étriqué.

Les différents négociateurs du Pacte vont à présent retourner vers leur base respective pour solliciter leur appui envers le compromis.

Leurs conclusions devraient en conséquence officiellement être remises au gouvernement de la Fédération dans le courant du mois de janvier.

Pour préparer déjà la mise en oeuvre de ces réformes, des groupes techniques, rassemblant des membres des cabinets ministériels concernés, vont se réunir dès la semaine prochaine pour se pencher sur le calendrier de mise en place et de financement, a indiqué le ministre-président Rudy Demotte.

Le gouvernement entend aussi finaliser d'ici janvier les travaux sur la réforme de la formation initiale des enseignants et celle sur la formation en alternance.

Dans un communiqué, M. Demotte s'est félicité jeudi soir de la conclusion des travaux du groupe central du Pacte.

"Tous ensemble, ils auront déjà largement contribué à écrire l'histoire nouvelle de notre enseignement, l'histoire d'un enseignement plus efficace et davantage porteur d'égalité".

Les membres du groupe central présenteront le fruit de leurs travaux demain/vendredi lors d'une conférence de presse prévue à 11h30 au Théâtre National, à Bruxelles.

 


04-12-2016

CONCERT EXCEPTIONNEL DE LA PIANISTE VERVIETOISE 

ELIANE REYES

CE DIMANCHE A L'HOTEL VERVIERS










 © mediabeofficiel (Charles)






04-12-2016
rtlinfo
 Grosse opération de police à Verviers: 9 personnes contrôlées sur 94 étaient dans l’illégalité © Fournis par RTL info 

Grosse opération de police à Verviers: 9 personnes contrôlées sur 94 étaient dans l’illégalité

La Zone de Police Vesdre a réalisé hier vendredi une vaste opération de police de 17h00 à 02h00. Le contrôle a été mis en place à différentes sorties d'autoroutes, suivant différents créneaux horaire.

Bilan de l’opération, sur 115 véhicules et 94 personnes contrôlés, la police a saisi 5 véhicules et constaté plusieurs infractions. 2 personnes étaient porteuses d'arme, 4 personnes étaient porteuses de drogue, 2 étaient en séjour illégal et une était signalée et a donc été arrêtée.

L’opération a mobilisé 4 Inspecteurs principaux, 17 Inspecteurs de la Zone de Police Vesdre et 10 Inspecteur de la Police Fédérale dont deux maîtres-chiens "drogues".








05-12-2016
rtlinfo

Diminution drastique des séances de kiné pour les fibromyalgiques: le coup de gueule de Thierry contre Maggie De Block 

Diminution drastique des séances de kiné pour les fibromyalgiques: le coup de gueule de Thierry contre Maggie De Block © Fournis par RTL info 

Moins de séances de kiné remboursées pour les fibromyalgiques, c’est une des mesures de la ministre de la Santé Maggie De Block. Une décision qui choque tout le monde, malades, médecins et associations, sauf le gouvernement qui espère ainsi économiser 4,12 millions d’euros. Pour Thierry, dont la femme souffre de cette maladie, c’est un non-sens même du point de vue économique.
A partir du 1er janvier prochain, seules 18 séances de 45 minutes seront prises en charge par la mutuelle, à la place de 60 séances de 30 minutes (renouvelables) actuellement. Les patients auront tout de même droit à 18 séances de 30 minutes de plus pour pathologies courantes.

Pour l'asbl Focus Fibromyalgie, c'est une catastrophe pour les patients qui risquent d'augmenter leur consommation d'antidouleurs pour pallier l'absence de ces séances. En effet, la première recommandation adressée aux personnes qui souffrent de fibromyalgie est l'exercice physique via des séances de kiné.


Que vont faire les malades ? "Certificat médical et mutuelle"

Pour Thierry, qui a contacté RTLinfo via notre bouton orange Alertez-nous, c’est un non-sens. Il se "demande comment les nombreux fibromyalgiques dont ma femme, qui a besoin d'une séance par semaine juste pour être un peu mieux et pouvoir travailler, vont faire. Je vais vous le dire : sans séance, mon épouse ne saura plus travailler, donc comme elle adore son job, elle va y aller jusqu'à tomber d'épuisement. Ensuite ? Dépression, certificat médical et mutuelle."

Il renchérit en interpellant Maggie De Block : "Franchement, je ne souhaite de mal à personne mais juste deux semaines de fibromyalgie à notre ministre et elle changerait vite d'avis."


"Sans kiné, je ne serais pas sur mes deux jambes"

Annie Michaux a découvert qu'elle était atteinte de fibromyalgie il y a 5 ans? Au micro de Céline Praile ce matin sur Bel RTL, elle a expliqué en quoi ses séances de kiné sont vitales. "Si je n’avais pas eu mes séances de kiné, je ne serais pas sur mes deux jambes à l’heure actuelle. J’ai récupéré mon bras, j’ai récupéré ma jambe, donc je sais marcher", a-t-elle détaillé, expliquant qu'elle ne saurait pas se permettre financièrement de compenser les séances qui ne seront plus remboursées. Encore heureux, "les kinés nous expliquent comment faire pour fractionner notre journée", donc désormais, "je ne ferai plus mon ménage en une journée, mais je vais le fractionner en plusieurs fois sur la semaine".

La fibromyalgie se traduit principalement par des douleurs musculaires chroniques dans tout le corps, de la fatigue chronique, des problèmes de sommeil. Les troubles digestifs, de l'anxiété et des maux de tête font aussi partis des symptômes. La fibromyalgie affecte entre 2 et 3% de la population dont une majorité de femmes (70 à 80% des cas), principalement entre 35 et 45 ans. Cette affection reste encore mal connue, voire incomprise.




06-12-2016
lesoir / Belga

Le prix de la visite chez le médecin augmentera à partir du 1er janvier 

© Fournis par Le Soir

Une visite chez le médecin coûtera 25 euros à partir du 1er janvier, soit 52 cents de plus qu’actuellement, a-t-il été décidé lundi lors de la commission nationale médico-mutualiste (CNMM), après plusieurs semaines de négociations sur la répartition de la masse d’indexation. Selon les spécialisations, le coût des prestations augmentera de 2 à 2,12%.
Les honoraires pour les consultations de médecins généralistes accrédités et pour les consultations de certains spécialistes accrédités sont majorés à 25 euros. Les honoraires des autres spécialistes accrédités, pour la surveillance par des spécialistes accrédités, pour la consultation oncologique multidisciplinaire et les honoraires de permanence de pédiatres sont augmentés de 2%.

Un supplément arrondi pour les consultations entre 18h et 21h

Tous les autres honoraires, à l’exception de ceux pour le dossier médical global, l’imagerie médicale et la biologie clinique, sont majorés de 0,83%.
Le supplément de permanence pour les consultations de médecins généralistes entre 18h et 21h est arrondi à quatre euros.






07-12-2016
rtlinfo

Le pouvoir d'achat des Belges est en baisse: voici les secteurs responsables de la hausse des prix

 Le pouvoir d'achat des Belges est en baisse: voici les secteurs responsables de la hausse des prix © Fournis par RTL Belgium 

Les prix augmentent plus en Belgique que chez nos voisins: c'est la conclusion d'une étude menée par l'observatoire des prix. Sur le plateau du RTL info 13h, Sébastien Rosenfeld a expliqué en quoi cette inflation pouvait avoir une influence sur notre pouvoir d'achat.
Le consommateur belge est défavorisé par rapport à un Français ou un Allemand, et cela se remarque sur les prix de ces 9 dernières années. L'augmentation est de 1,5% en Belgique alors qu'elle est de 1,1% en France, en Allemagne et aux Pays-Bas.
Cet écart s'explique notamment par une augmentation très importante des prix dans le secteur de l'horeca. Dans l'hôtellerie et la restauration, on a une augmentation de 25% sur les 9 dernières années, que les professionnels expliquent par un rattrapage des salaires. Par contre, rien qu'en 2016, la hausse est de 3%. Cela s'explique par la mise en place de la boîte noire pour lutter contre la fraude fiscale, et également l'augmentation des accises sur les boisons alcoolisées.
Autre chiffre important dans cette analyse: les télécoms avec une augmentation de 4% en 2016. Les packs téléphonie, internet, télévision sont plus chers qu'ailleurs et l'Observatoire des prix constate qu'il y a un problème certains opérateurs quasiment en situation de monopole dans certaines régions.
Dernier élément: certaines décisions gouvernementales ont amené une augmentation du minerval dans l'enseignement supérieur. Il y a aussi l'augmentation de la TVA pour les huissiers, les notaires, et également le passage de la TVA de 6 à 21% pour l'électricité.
Tous ces éléments jouent évidemment sur le pouvoir d'achat des Belges qui a diminué un peu plus encore en 2016.





07-12-2016
rtlinfo

Jacky Morael, ancien homme fort d'Ecolo, est décédé: "La famille écologiste est en deuil" 

Jacky Morael, ancien homme fort d'Ecolo, est décédé: "La famille écologiste est en deuil"  © Fournis par RTL info


Jacky Morael, ancien homme fort d'Ecolo, est décédé: "La famille écologiste est en deuil"

Dans un communiqué signé par les co-présidents d'Ecolo, les Verts annoncent le décès de Jacky Morael, l'une des figures emblématiques du parti. "La famille écologiste est en deuil ce soir. Jacky Morael nous a quitté (sic)", annonce le communiqué. L'ancien homme fort des écologistes avait 57 ans.
"La nouvelle est encore récente donc c'est encore le choc, la tristesse. On est bouleversé. C'est une immense tristesse", a réagi Zakia Khattabi, co-présidente du parti Ecolo, par téléphone. "J'ai eu une relation privilégiée avec Jacky parce qu'il était mon chef de groupe lors de mon premier mandat au Sénat. Il a fait un pas de côté pour me mettre le pied à l'étrier parce qu'il avait choisi de me laisser sa place pour me permettre d'apprendre le métier", a-t-elle ajouté.

Il avait perdu sa fille et avait dû lutter contre la dépression
Dans sa vie privée, l'homme politique avait connu des moments difficiles. "En 1999, il perdait sa fille adolescente, victime d'une méningite foudroyante", rappelait en 2007, le porte-parole du parti dans un article du journal Le Soir. Un événement tragique qui entrainera Jacky Morael dans une "profonde dépression" et provoquera son retrait temporaire de la vie politique. Six ans plus tard, Jacky Morael se "fracture la colonne vertébrale" en tombant chez lui. A la suite de cet accident, l'écologiste se déplacera à l'aide d'une canne.
Par la suite, l'homme politique reviendra en campagne, avant de soutenir la liste Ecolo au Sénat en 2007, en tant que dernier candidat effectif.

"Jacky, c'était la vision et l'instinct"
"Ecolo exprime son immense tristesse et son infinie gratitude à une personnalité hors-pair qui laisse un vide énorme dans le coeur des écologistes et une empreinte essentielle dans l'histoire politique belge de ces 30 dernières années. Avec émotion, nous adressons à sa famille et à ses amis proches nos plus sincères condoléances", poursuit le communiqué, qui rappelle aussi les apports importants de l'écologiste: "Jacky, c'était la vision et l'instinct, une profonde volonté de changement sociétal et une capacité unique à rassembler pour le construire. Il aura porté Ecolo à ses premiers grands succès. Sa lucidité, son analyse fine, ses fulgurances stratégiques et sa générosité engagée ont inspiré et inspireront encore des générations de citoyens", conclut le parti.




12-12-2016
sudinfo

Les frais demandés par BNP Paribas Fortis pour refinancer un crédit hypothécaire sont illégaux, selon Test-Achats

Belga
Les frais demandés par BNP Paribas Fortis pour refinancer un crédit hypothécaire sont illégaux, selon l’organisation de défense des consommateurs Test-Achats. La banque avait annoncé sa décision de majorer drastiquement les frais de dossier de ses crédits hypothécaires à partir du 1er septembre: de 350 à 500 euros pour les nouveaux dossiers et de 350 à 700 euros pour les frais de refinancement d’un ancien crédit.
 
Photonews
«Cette analyse semble partagée par le ministre en charge des Consommateurs Kris Peeters dans sa réaction à un courrier envoyé par l’organisation de consommateurs. Celui-ci n’a cependant pas pris la décision d’intervenir directement contre la banque. L’organisation de consommateurs a dès lors mis BNP Paribas en demeure de cesser sa pratique illégale», indique Test-Achats.
Test-Achats estime qu’il n’est pas permis de «sanctionner» les clients qui souhaitent profiter des taux bas et refinancer leur crédit habitation par des frais encore plus élevés.
Lorsqu’une banque accepte de refinancer un crédit hypothécaire, elle réclame presque systématiquement un montant - l’indemnité de remploi - que la loi l’autorise à compter en cas de remboursement anticipé ainsi que des frais de dossier pour le nouveau crédit. Selon Test-Achats, le client payerait actuellement la même indemnité de remploi 700 euros de frais et non 500 euros. Pour Test-Achats, cela est purement et simplement illégal.
 






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 © mediabeofficiel : décembre 2016 
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