mercredi 18 février 2015

l'actu en 2015.... suite N°1

13-01-2015
dh.be
Plus de 3000 personnes exclues du chômage à Charleroi
La CSC Charleroi-Sambre et Meuse a fait le point mardi à Charleroi, deux semaines après l'entrée en vigueur des mesures gouvernementales d'exclusion du chômage. 
Ils sont, dit le syndicat, 3.345 dans ce cas à Charleroi. La CSC a mis ce premier bilan à profit pour rappeler les nombreuses actions de sensibilisation menées depuis l'annonce de ces mesures d'exclusion, au rythme d'une action par mois depuis novembre 2011. 
Parallèlement, souligne la CSC, aucune mesure n'a été prise par le gouvernement depuis l'annonce de ces dispositions, pour créer des emplois. Les contraintes budgétaires évoquées pour tenter de justifier ces exclusions du chômage ne tiennent pas, dit encore la CSC.
Plusieurs centaines de dossiers ont été introduits, indique le syndicat, afin de permettre aux affiliés concernés de bénéficier d'une prolongation du droit au chômage.
La CSC a pu établir que sur le territoire de Charleroi-Sambre et Meuse, 65% des allocataires concernés sont des femmes. Pour l'ensemble des organisations syndicales, les mesures d'exclusion prises au 1er janvier concernent 3.345 affiliés, dont 40% sont des affiliés à la CSC. Charleroi, Liège et Mons sont les fédérations les plus touchées après Bruxelles.
D'autres actions seront encore menées par le syndicat dans les semaines et les mois à venir. La plus immédiate aura lieu le 30 janvier à 10 heures, place de la Digue à Charleroi.
  



14/01/2015
lameuse.be
À Verviers, la police se prépare à des risques d'attentats
Police fédérale et police locale verviétoise se sont mises autour de la table ce mardi matin. Sujet du jour : comment réagir à Verviers par rapport aux massacres de Paris et aux menaces qui planent sur la police ? « On est prêts pour anticiper d’éventuels attentats à Verviers », nous assure une source policière. La procureure du Roi confirme que l’attention est plus vive que jamais concernant le radicalisme et le terrorisme sur tout l’arrondissement.

Plus question pour les policiers de patrouiller en solo.
 
P.P./N.L. Plus question pour les policiers de patrouiller en solo.
17 morts, dont 3 policiers, en l’espace de 3 jours en région parisienne. Tous tués par des islamistes radicaux abattus depuis lors par les forces de l’ordre. À Verviers, que l’on sait être dans le triste top des villes belges où il y a du radicalisme (pour preuve nos 6 Verviétois partis combattre en Syrie), on se prépare bel et bien à d’éventuels attentats du genre. La police poursuit sa surveillance à distance des Verviétois partis faire le djihad car leur retour à Verviers (ou en Europe de façon générale) présenterait un grand danger. Mais cela ne suffira peut-être pas. Du coup, des mesures de sécurité complémentaires ont été prises.
Ainsi à la zone Pays de Herve, le chef de corps a ordonné à tous ses hommes de porter un gilet pare-balles dès qu’ils sont en service à l’extérieur et de garder leur arme sur eux quand ils sont à l’intérieur des bâtiments. Des blocs de béton seront placés devant l’entrée des commissariats pour éviter les intrusions à la voiture bélier.



15/01/2015
20minutes.fr

Monde

TERRORISME
Deux personnes suspectées de préparer des attentats ont été tuées à Verviers,une troisième a été interpellée...


Une opération a été menée ce jeudi soir par la police fédérale contre un groupe de terroristes présumés, 
dans plusieurs villes de Belgique dont Verviers, près de Liège. L'intervention a fait deux morts et un blessé parmi les supects, a annoncé le substitut du procureur, Eric Van der Sijpt, lors d'une conférence de presse, précisant que l'Organe de coordination pour l'analyse de la menace (Ocam) avait décidé de relever le niveau à 3 (sur 4) «envers les services de police».


·         3h00: Ce live est désormais terminé
Merci d'avoir passé cette longue soirée avec nous.
 
·         1h45: Quatre kalachnikovs découvertes et des produits pour fabriquer des bombes
Les enquêteurs des polices judiciaire et scientifique se trouvaient toujours vendredi, à 0h30, sur les lieux de l’assaut donné par la police fédérale à Verviers, selon l’agence Belga.Quatre kalachnikovs ont été découvertes, ainsi que des produits destinés à fabriquer des bombes et des vêtements policiers, rapporte 
Le Soir.
·         23h40: «La peur doit changer de camp», dit le Premier ministre belge
L'opération «démontre la détermination du gouvernement belge à combattre ceux qui veulent semer la terreur. La peur doit changer de camp», a déclaré Charles Michel, cité par son porte-parole, à l'issue d'une réunion de crise.
 
·         22h45: Dix personnes dans la cellule terroriste
Cette «cellule opérationnelle était composée d'une dizaine de personnes dont certaines revenaient de Syrie», a précisé un officiel belge
·         21h50: Des Kalachnikovs utilisées pendant l'échange de tirs
Les suspects «ont ouvert le feu au moyen d'armes de guerre et d'armes de poing, dont certaines de type Kalachnikov, a-t-il précisé. Même blessés et au sol, ils ont continué à tirer»
·         21h45: La voiture de Hayat Boumeddiene rachetée en Belgique
Un habitant de Charleroi, Neetin Karasular a été inculpé pour trafic d'armes. Selon le parquet fédéral, il est établi que cet homme, déjà connu de la justice pour divers trafics, avait racheté la voiture de Hayat Boumeddiene, la compagne de Coulibaly.
·         21h14: Pas de lien établi ente la Belgique et les attentats de Paris
«Aucun lien établi à ce stade» entre l'opération antijihadiste et les attentats de Paris
·         21h10: Marylou, une habitante de Verviers parle à un journaliste de 20 Minutes 
«Vers 17h30, je remontais la rue des Ecoles avec mes enfants quand un homme tout en bleu avec une cagoule s’est présenté face à nous. Il nous a demandé de quitter les lieux immédiatement en courant. Puis il y a eu une première explosion suivie de rafales. Mes enfants ont commencé à hurler et nous avons fui. En se précipitant au plus vite chez nous, d’autres détonations se sont faites entendre. Il y a encore beaucoup de mouvements dehors, mais tout semble sous contrôle.»
 
·         20h50: D'autres opérations en Belgique
Selon le correpsondant de BFMTV en Belgique, les opérations continuent dans différentes villes du pays, et un hélicoptère survole toujours Bruxelles.
·         20h30: Réhaussement du niveau d'alerte pour les services de police
«Vu l'importance de l'affaire», le substitut du procureur, Eric Van der Sijpt, précise que des moyens sont mobilisés pour renforcer la section antiterroriste de la police judiciare fédérale. Il ajoute que, la menace portant sur les services de police, l'Organe de coordination pour l'analyse de la menace (Ocam) a décidé de «relever niveau alerte en Belgique au niveau 3 (sur 4) pour les services de police» et les palais de justice. Ce niveau d'alerte reste au niveau 2 dans certains autre endroits du pays.
·         20h27: Une nouvelle conférence de presse aura lieu demain à 11h

 
·         20h24: A Verviers, les supects ont ouvert le feu sur les unités spéciales de la police fédérale à l'arme automatique et à l'arme de poing
Le substitut du procureur précise que deux suspects sont décédés dans cet échange de feu nourri, et qu'un troisième a été «intercepté sur place». Il ajoute qu'aucun témoin ou policier n'a été blessé. Il indique que l'enquête se poursuit, et que pour cette raison, il n'apportera «pas davantage de précisions».
 
·         20h22: Une dizaine de perquisitions à Verviers, Bruxelles et Hal-Vilvorde, contre un groupe djihadiste prêt à commettre un attentat
Le substitut du procureur, Eric Van der Sijpt, indique que les opérations ont porté sur une «cellule opérationnelle» composée d'une dizaine de personnes, dont certaines«revenaient de Syrie». Il précise que le groupe était «sur le point de commettre de manière imminente des attentats terroristes sur le sol belge».
 
·         20h21: La conférence de presse commence à Bruxelles
·         20h20: Verviers, un des foyers de radicalisation islamiste en Belgique
Selon les sources, entre six et 10 jeunes de la ville seraient partis se battre en Syrie ces derniers mois.Le site de 
L'Avenir en faisait le décryptage ces derniers jours.


·         20h18: Petit retard du parquet fédéral belge, qui devait tenir une conférence de presse à Bruxelles à 20h
 
·         20h06: Alerte à la bombe au siège de la police fédérale belge, selon LaLibre.be
Les bâtiments Avenue de la Couronne ont été évacués, tout comme de nombreux commissariats, précise le site du quotidien.
 
·         19h51: Des perquisitions dans d'autres villes de Belgique
Outre Molenbeek, des opérations ont également lieu à Bruxelles-ville, où, selon 
La Dernière Heure, des suspects auraient réussi à prendre la fuite et menacent les forces de l'ordre.
Selon un journlaiste de la RTBF sur Twitter, des perquisitions ont également lieu àVilvorde, ville proche de Bruxelles située dans la région flamande.

·         19h47: Trois morts confirmés par le parquet
«Le parquet vient d'officialiser trois morts», selon le journaliste de RTLinfo. Le site précise que les djihadistes présumés «étaient lourdement armés» et qu'il y a eu «de nombreux tirs».
·         19h35: Perquisitions à Molenbeek
Selon Françoise Schepmans, la bourgmestre (maire) de Molenbeek-Saint-Jean, dans l'agglomération bruxelloise, des perquisitions ont lieu dans sa commune, qui compte une forte population d'origine immigrée. L'opération est liée à celle menée à Verviers, a-t-elle précisé. L'opération de la police fédérale n'a en revanche aucun rapport avec l'homme du métro de ce jeudi après-midi, selon elle.
Verviers est considéré, avec certaines banlieues de Bruxelles, comme un des foyers de radicalisation islamiste en Belgique. Selon les sources, entre six et 10 jeunes de la ville seraient parties se battre en Syrie ces derniers mois.
·         19h33: Le témoignage d'une habitante de Verviers à nos confrères de la chaîne privée RTL-TVi
·          19h31: Un homme armé signalé dans une station de métro bruxelloise
·         Plus tôt ce jeudi, un homme armé d’origine africaine qui criait des phrases religieuses en arabe et en français avait été signalé dans une station de métro, à Molenbeek-Saint-Jean, dans l'agglomération bruxellois. Il n’a pas été appréhendé, mais une enquête judiciaire va être ouverte, selon la police fédérale.
·         19h29: Un opération en cours également à Bruxelles
Le Soir indique qu'une «vaste opération de police» menée par les unités anti-terroristes de la police fédérale est en cours à Bruxelles. Elle «visait un groupe de djihadistes de retour de Syrie» placés sous surveillance, et dont des écoutes téléphoniques «auraient révélées l’intention de réaliser des attentats dans la capitale suite aux attaques de Paris».
·         19h25: Selon LCI, les trois jeunes djihadistes revenaient de Syrie et auraient suivi la filière de Coulibaly
Des policiers à Verviers en Belgique lors du démantèlement d'une cellule terroriste le 16 janvier 2015
·         19h24: Selon une source policière citée par La Meuse, «grâce à cette intervention, un Charlie Hebdo a été évité en Belgique»








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16/01/2015
francetvinfo.fr

Belgique : 

les attentats en préparation

visaient des services de police

Les forces de l'ordre ont mené une dizaine de perquisitions à Vilvorde, à Bruxelles et à Verviers, jeudi 15 janvier. Dans cette dernière commune, deux suspects sont morts et un troisième a été interpellé, indique le parquet fédéral.
La police belge à Verviers (Belgique) après l'assaut antiterroriste lors duquel ont été tués deux suspects, le 15 janvier 2015.
"La peur doit changer de camp", a réagi le Premier ministre belge, Charles Michel. Une opération de la police a été menée dans plusieurs villes contre des terroristes présumés, jeudi 15 janvier. A Verviers (Belgique), commune située entre Liège et la frontière allemande, les jihadistes présumés ont ouvert le feu sur la police. Deux suspects ont été tués et le troisième a été interpellé. Des "attentats terroristes d'envergure" étaient sur le point d'être perpétrés en Belgique, a déclaré le parquet fédéral. Selon plusieurs médias belges, ils visaient les services de police. 
Que s'est-il passé à Verviers ?
Au total, une dizaine de perquisitions antiterroristes ont été menées en Belgique, à Bruxelles, à Vilvorde et à Verviers. Dans cette dernière ville, lors de la perquisition d'une habitation rue de la Colline, les suspects ont tiré sur les unités spéciales, "au moyen d'armes de guerre et de poing", explique le parquet. Même blessés et au sol, ils ont continué à tirer. "Deux suspects sont décédés, un troisième a été interpellé sur place. Aucun témoin ou policier n'a été blessé", a-t-il ajouté.
"J'étais dans mon salon, puis j'ai entendu un gros 'boum', comme une grosse explosion. Il y a eu un éclair et une fusillade, explique un habitant de la rue de la Colline, contacté par francetv info. J'ai eu très peur, je suis descendu tout de suite, mais j'ai vu des policiers cagoulés par la vitre. Je n'en ai jamais vu autant de ma vie. Apparemment, on ne risque plus rien mais on reste cloisonnés."
"Un homme encagoulé est venu nous trouver en nous disant de partir en courant, ajoute sur la RTBF Marie-Laure, un autre riveraine. On a d'abord cru que c'était un accident. On a vu que, dans toute la rue, il y avait des camionnettes anti-explosions, on s'est mis à courir, on a entendu trois, quatre grosses explosions et des coups de feu."
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Quel est le bilan ?
L'opération a fait deux morts parmi les suspects, indique le parquet, tandis qu'un troisième a été interpellé à Verviers. Il n'y a eu aucun blessé, ni chez les policiers, ni chez les habitants.
Quelles autres interventions ?
Au total, une dizaine de perquisitions ont eu lieu dans le pays, principalement à Bruxelles et dans les environs. Elles visaient "une cellule opérationnelle composée de personnes dont certaines revenaient de Syrie", selon le parquet.
Ces opérations antiterroristes se sont "terminées sur le terrain" vendredi. "On exploite maintenant les données. On verra du côté de la police et des autorités judiciaires s'il y a d'autres initiatives à prendre", a déclaré le ministre belge des Affaires étrangères, Didier Reynders, sur i-Télé.
Quelles sont les pistes évoquées ?
A ce stade, aucun lien n'est établi avec les attaques terroristes en France, indique le parquet fédéral. La police belge enquête sur une cellule opérationnelle, dont certains membres rentraient de Syrie. "Ils étaient sur le point de mener une attaque d'envergure et imminente", explique le parquet. Selon RTL.be, cette attaque visait des services de police.
La justice cherche à déterminer s'il existe des liens entre Amedy Coulibaly, l'un des trois auteurs des attaques de Paris, et un trafiquant d'armes présumé domicilié en Belgique, a indiqué jeudi le parquet fédéral. "La question des armes est sous enquête", a indiqué le parquet.
Verviers, ville de 56 000 habitants, est considérée, avec certaines banlieues de Bruxelles, comme un des foyers de radicalisation islamiste en Belgique. Selon certaines sources, entre six et dix jeunes de la ville seraient partis se battre en Syrie ces derniers mois.
Quelles conséquences ?
La menace visait les services de police, a précisé le parquet. Le niveau d'alerte a donc été relevé jeudi de 2 à 3 sur un niveau maximum de 4 pour les services de police et les palais de justice.


20/01/2015
7sur7.be

Un crash de

 Lamborghini

à 338 km/h
VIDÉO voir la vidéo ici:

La police hongroise de la route a publié lundi les images d'un accident de la route hors du commun survenu en septembre dernier. On y voit un pirate de la route et son passager, qui filme la scène, s'élancer à 338 km/h à bord d'une Lamborghini Huracan. Évidemment, le pseudo-pilote finit dans le décor.

Alors que le conducteur atteint 320 km/h, son comparse filme fièrement le compteur avec son smartphone. Mais rapidement, l'automobiliste tchèque perd le contrôle de son véhicule et la Lamborghini se retrouve dans le fossé après avoir défoncé la berme latérale.

Par miracle, le conducteur survivra au crash et sortira son passager, grièvement blessé, de la carcasse juste avant qu'elle ne s'embrase. Dans l'attente de son procès, l'automobiliste est toujours libre. En Hongrie, la limitation de vitesse sur autoroute est fixée à 130 km/h.


20/1/2015
7sur7.be

Un drone a survolé 

l'Élysée durant la nuit
© afp.

Un drone a survolé l'Élysée "pendant quelques secondes" 

dans la nuit de jeudi à vendredi, a-t-on appris mardi 
auprès 

de la présidence qui a ainsi confirmé une information 
d'iTELE.

"Immédiatement repéré" par les services de police et de gendarmerie qui assurent la garde du palais présidentiel, le drone s'est "immédiatement éloigné de l'Élysée", a-t-on indiqué de même source, précisant qu'une "enquête judiciaire est en cours".

Le parquet de Paris a en effet ouvert une enquête pour "conduite d'un aéronef non conforme avec les règles de sécurité", a indiqué une source judiciaire. Les investigations ont été confiées à la section de recherche de la gendarmerie des transports aériens.

Cet incident est survenu alors que de nombreux survols de centrales nucléaires par des drones ont été signalés ces derniers mois et une semaine après les attentats qui ont ensanglanté Paris. 




22-01-2015
lavenir.net
Les militaires ont débarqué à 
Liège, Huy et Verviers 
pour assurer la sécurité

Des militaires devant le palais des Princes-Évêques, où se trouve le palais de Justice, place Saint-Lambert.

Des militaires du 12e-13e de Liège de Spa, postés devant les bâtiments abritant la justice: c’est une réalité depuis ce jeudi matin. S’agit-il de rassurer la population et le personnel, de dissuader les terroristes potentiels, de sécuriser les bâtiments? Une telle présence militaire, dans un but de sécurisation, n’avait en tout cas plus eu lieu en Cité ardente depuis la grande grève de l’hiver 60-61.
Il s’agissait alors de se poster aux abords installations ferroviaires. Cette fois, ce sont les bâtiments de la justice qui sont protégés, à la demande des autorités liégeoises, dans le contexte du relèvement du niveau de menace terroriste par l’OCAM (Organe de coordination pour l’analyse de la menace).
Le bourgmestre Willy Demeyer (PS), pour rappel, a demandé 25 ou 26 militaires pour venir renforcer la police, déjà occupée à surveiller une série d’autres lieux à Liège. La Défense est donc concentrée autour du palais des Princes-Évêques, des deux nouvelles ailes du palais de justice, toutes proches, et du tribunal de police, du côté de la rue Saint-Gilles. Ce déploiement s’effectue sous le contrôle de la police de Liège et de son autorité administrative, le bourgmestre.
Alors que les militaires sont arrivés ce jeudi à 8h, les différents responsables se sont réunis pour organiser cette opération, qui devrait durer un mois, avant une éventuelle prolongation.
Des déploiements du même type ont également débuté à Verviers et Huy, ce jeudi.
Quant à savoir s'il serait possible de prévoir un renfort similaire dans d'autres villes, la réponse dépend du fédéral. "Notre intervention s'inscrit dans le cadre de l'accord entre les ministères de l'Intérieur et de la Défense, qui prévoit un déploiement de 300 militaires en Belgique. 120 sont déjà présents à Anvers, 120 à Bruxelles, et avec les 55 en province de Liège nous nous approchons des 300. Pour prévoir plus de monde, il faudrait que l'accord soit revu ou que des choix soient opérés."





22/01/2015
lavenir.net
Salon de l'auto - E-car, 
une voiture belge et électrique
E-car, c'est un prototype visible dans le palais réservé aux voitures de luxe. Au milieu des Aston Martin, Porsche et autres Ferrari, on se demande un peu ce que cette curieuse petite voiture fait là. C'est son CV qui lui a ouvert les portes du prestigieux palais "dream cars".
E-car 333, c'est son nom : 3 roues, 300 kms d'autonomie, 3 places. Et surtout, cette future voiture 100% électrique est aussi 100% belge.
Une voiture 100% belge et électrique. Le projet est un peu fou. Mais le concepteur de l'E-Car 333, Xavier Van der Stappen, ne doute pas de grand chose. Ce "touche-à-tout" avoue d'emblée qu'il lui faut encore trouver un demi million d'euros pour aller plus avant dans ce projet qui lui a déjà coûté 4 ans de travail. Rien que pour terminer l'étude d'industrialisation et obtenir les homologations de sa voiture qui, à l'heure actuelle, n'est encore qu'un prototype de pré-série, exposé au milieu des Porsche, Aston Martin ou Lamborghini, dans l'exposition Dream Cars accessible dès ce vendredi et tout le week-end au Salon de l'Auto (Palais 11).
"Idéalement, si on peut trouver des partenaires, on peut boucler l'affaire en un an", affirme Xavier Van der Stappen. Et ainsi réaliser son rêve de mettre sur la route cette étrange voiture à trois roues, dont la version exposée, baptisée 333, compte aussi trois places et se prévaut d'une autonomie de 300 kilomètres. Sur le même châssis, déjà testé sur près de 40.000km sur le circuit de Francorchamps, six déclinaisons de carrosserie seront possibles, pour différents usages.
De 150 à 300 kms d'autonomie
Selon la configuration, l'autonomie sera plus ou moins importante (150, 200 ou 300 km). L'entraînement sur une seule roue à l'arrière rend l'engin léger, tout en restant stable, mais aussi plus économique, explique le concepteur. "Pas besoin de cardan, ni de boîte de vitesse." Cette propulsion arrière demande moins d'énergie, tout en permettant de rouler à 130 km/h, vitesse "bridée" pour garantir l'autonomie. La recharge s'effectue sur une prise conventionnelle 16 ampères, en 3 heures, pour un coût de 1€ aux 100km.
Une charge rapide pourrait être proposée en option, "mais comme ce n'est pas excellent pour la longévité des batteries, on ne le conseille pas", précise Xavier Van der Stappen, dont le projet se veut avant tout "durable", intégrant un système de recyclage des batteries lithium-polymères. Une partie de l'énergie est récupérée au freinage. La carrosserie est construite en fibres de lin stratifié. La conception est relativement simple. "Assez rapidement, on pourrait déjà construire une dizaine de voitures, de manière artisanale", affirme le promoteur du projet. Reste à convaincre des investisseurs. Le prix de vente devrait tourner autour de 20 000€ pour le modèle de base.
 




















23/01/2015
rtbf.be
Le roi Abdallah d'Arabie saoudite est mort, 
Salmane lui succède
 Le roi Abdallah d'Arabie saoudite est mort
Le roi Abdallah d'Arabie saoudite est mort - Belga

Le roi Abdallah d'Arabie saoudite, dont le décès a été annoncé vendredi, était, comme les quatre souverains qui l'ont précédé, fils du roi Abdel Aziz, fondateur de la dynastie des Al-Saoud qui a donné son nom au pays. Le successeur d'Abdallah est son demi-frère, Salmane, âgé de 79 ans et à la santé fragile.
L'origine de la famille royale remonte au XVIIIe siècle lorsqu'un seigneur du désert, Mohammad ibn Saoud, décide en 1745 de consolider son pouvoir en s'alliant à un religieux prêchant par le sabre le retour à un islam pur et dur, Mohammad ibn Abdel Wahab.
En 1818, les descendants de Mohammad ibn Saoud sont défaits par les Turcs et leurs vassaux égyptiens. Mais six ans plus tard, la famille Saoud reprend le contrôle de Ryad. Les années suivantes seront marquées par des querelles familiales pour la succession.
En 1902, Abdel Aziz chasse de Ryad le clan rival des Rachidi et entreprend de consolider graduellement son pouvoir en unifiant la péninsule au fil de l'épée. Il prend ainsi le contrôle en 1913 de la côte le long du Golfe, puis en 1925 des villes saintes de La Mecque et Médine, près de la mer Rouge (ouest).
En 1932, il établit le royaume d'Arabie saoudite et se proclame roi.
Pour asseoir son autorité, il multiplie les mariages avec les filles des chefs de tribus. Il eut ainsi au total 45 fils. La famille royale compte environ 25.000 membres, dont 200 princes exercent une influence politique.
L'autre année charnière dans l'histoire de l'Arabie saoudite sera 1938, lorsque du pétrole est découvert dans le royaume qui deviendra ainsi l'un des pays les plus riches avec les deuxièmes réserves de la planète.
A la mort du roi Abdel Aziz le 9 novembre 1953, son fils Saoud, qu'il avait désigné prince héritier, lui succède.
Accusé de mauvaise gestion et de corruption, Saoud est destitué en 1964 par le Conseil des émirs, regroupant les principaux membres de la famille royale. Son demi-frère Fayçal, prince héritier, le remplace.
Architecte de la politique de modernisation du royaume, il est assassiné par un de ses neveux, présenté comme déséquilibré, en mars 1975.
Son demi-frère Khaled lui succède et règne jusqu'à sa mort en 1982. Le prince héritier Fahd monte alors sur le trône avant qu'Abdallah, de deux ans son cadet, ne lui succède en 2005.
Salmane: un successeur déjà âgé
Salmane qui monte aujourd’hui sur le trône n’est pas un jeune souverain vigoureux Salmane a 79 ans et on lui prêt une santé " fragile ".
Ni en pleine forme, ni révolutionnaire, il occupe le devant de la scène depuis plusieurs années. Il était déjà vice premier-ministre, ministre de la défense et représentait régulièrement le pays à l’étranger.
Sur le plan politique la continuité semble assurée, notamment en matière de politique étrangère. L’alliance stratégique avec les Etats-Unis devrait donc se poursuivre, en particulier la participation du pays à la coalition internationale contre le groupe Etat Islamique en Irak et Syrie. Même chose pour la politique intérieure : il devrait continuer à ménager les intérêts de puissants groupes religieux dans le pays.
Mais vu son âge, les regards se tournent déjà vers l’héritier du trône: Moqren, un autre demi-frère du roi Abdallah. Toujours pas un jeune héritier (il a 69 ans) mais qui a davantage de présenter un profil " libéral " sur les questions de société.
" Libéral " avec de gros guillemets dans un pays où les femmes n’ont pas le droit de conduire ou de se déplacer seules et où se pratique lapidation à mort et la décapitation. Les éventuelles réformes dans ce domaine seront très lentes.
Sur le plan économique également, Moqren est libéral mais ce profil pourrait le desservir. Sa désignation doit être avalisée par " le Conseil d’allégeance " composé des clans les plus conservateurs de la famille royale.
"Nous resterons, avec la force de Dieu, sur le chemin droit que cet Etat a suivi depuis sa création par le roi Abdel Aziz ben Saoud et ses fils après lui", a dit le souverain. Il a également demandé que Dieu le soutienne pour assumer cette "grande responsabilité".
Julien Jeffredo avec Belga




23/01/2015
sudinfo.be / Le Soir
Décès (Stéphane Steeman)

Stéphane Steeman
Originaire de Bruxelles
Décédé le 23 janvier 2015 
à l'âge de 82 ans
Né le 15 janvier 1933
Stéphane Steeman (né le 15 janvier 1933 et décédé le 23 janvier 2015) est un humoriste belge.
Il est le fils de l'écrivain Stanislas-André Steeman dont il écrira une biographie en 1998 avec André-Paul Duchâteau (L'assassin habite au 21). Il écrira également une vingtaine d'autres ouvrages humoristiques.
Il connut d'abord la célébrité durant les années 1960 en tant qu'imitateur, brocardant surtout des personnalités politiques belges dont Théo Lefèvre ainsi que des vedettes de la chanson dont Jacques Brel avec qui il fit plusieurs galas, deux tournées et l'Ancienne Belgique en 1962. En 1964, Stéphane Steeman joue au cinéma dans Que personne ne sorte de Ivan Govar, adapté d'un livre du père de Stéphane. Il anima avec Jacques Mercier une émission radio humoristique, Dimanche musique, qui durait de 20 heures à minuit sur les ondes de la RTB, et apparut fréquemment dans des sketches télévisés sur les antennes de la RTB. Il forma un duo populaire et durable avec Marion. Ce célèbre duo paraît dans de plusieurs émissions d'humour dès 1969. Deux 45 tours sont pressés et édités en 1973 et 1974. Il fut également l'auteur avec Yves Duval et le meneur de la revue du théâtre des Galeries pendant 10 ans. Il y rencontra son épouse la comédienne Régine Verelle et interprèta plusieurs pièces dans ce théâtre dont le fameux Bossemans et Coppenolle et Encore un p'tit Belge écrit en collaboration avec Yves Duval. Il travailla également sur Radio Luxembourg à ses débuts et ensuite sur RTL-TVI. En 1991, il joue dans la pièce de théâtre La Vieille Folle de Nadine Monfils. Dans les années 1990, il participe à l'émission télé Bon week-end (qui dura sept ans), sur la RTBF, dans laquelle il tient le rôle de Madame Gertrude. Son complice est alors Bernard Perpète, qui incarne son petit-fils Chris. Il est également entouré de son épouse qui tiendra le rôle de la belle-fille de Gertrude, Josée.
Grand connaisseur de Hergé et possédant une très riche collection concernant l'auteur, il est un des initiateurs de l'exposition Tout Hergé, qui se tint durant l'été 1991 à Welkenraedt. Le 3 octobre 1991, il rencontre Léon Degrelle dans sa résidence à Malaga, afin de dissuader celui-ci de sortir un livre dans lequel il révèle sa prétendue amitié avec Hergé. La révélation de cette rencontre par le magazine satirique Pan déclenche une tempête médiatique. Les propos alors tenus par l'humoriste à propos de Degrelle (« Après quarante-cinq ans d'après-guerre, il faut un peu oublier, un peu calmer les esprits. On ne peut pas vivre tout le temps dans cette obsession »1) conduisent certains, dont le ministre Georges Désir, à l'accuser de révisionnisme. Stéphane Steeman défendra toujours Hergé contre les accusations de collaboration : « On ne peut rien reprocher à Hergé. Tout au plus quelques gaffes, des erreurs de jeunesse2. ». Il cèdera une partie de sa magnifique collection à Fanny Rodwell, veuve de Hergé, en espérant la création d'un musée. Celui-ci ouvrira officiellement ses portes le 2 juin 2009. C'est cette même année 2009 que Stéphane Steeman quittera la présidence des Amis de Hergé, association qu'il avait créée vingt-cinq ans plus tôt, et sortira son dernier livre L'Escalade, où il raconte ses désaccords avec Nick Rodwell.
Proche du roi Albert II et de la reine Paola, Stéphane Steeman défend l'unité de la Belgique dans ses sketches et interviews.
Source : Wikipedia




24/01/2015
7sur7.be

Un couple voit de son lit

un drone le filmer par la

fenêtre
Illustration © ap.


Expérience très désagréable pour un couple de Saint-Nicolas-Waes dans la nuit de jeudi à vendredi. Alors que les deux Saint-Niclusiens étaient montés se coucher, ils ont réalisé qu'un drone les filmait par la fenêtre de leur chambre.


"Nous n'avons compris de quoi il s'agissait que lorsque nous avons regardé dehors", se souviennent, choqués, les deux habitants de la Colmarstraat. Ceux-ci venaient de monter se mettre au lit lorsque, peu avant minuit, ils ont entrevu quelque chose d'anormal. "Nous n'avions pas encore fermé les rideaux et nous avons vu qu'un drone volait juste devant la fenêtre de la chambre. Il était clairement en train de nous filmer", relate la victime.

Cambrioleurs ou pervers?
"Quand mon ami s'est dirigé vers la fenêtre, le drone s'est immédiatement enfui. Il a encore survolé les maisons avant d'être récupéré par quelqu'un qui l'a ensuite placé dans une camionnette blanche. Il s'agit sûrement de cambrioleurs qui inspectent de la sorte certaines maisons pour mieux commettre leurs méfaits. Malheureusement, nous n'avons pas su noter le numéro de plaque", regrette la jeune femme.

Ce n'est pas la première fois que des drones sont repérés dans le quartier mais qu'un de ces appareils filme jusque dans l'intimité des gens, "cela devient alarmant", s'inquiète encore le couple.

Vie privée
Actuellement, la loi n'est pas encore claire vis-à-vis des drones. Le gouvernement fédéral est donc à pied d'oeuvre pour fournir un cadre légal à l'utilisation de ce type d'engins. Ces derniers sont pourtant déjà en pleine expansion et n'importe quel quidam peut désormais s'en procurer un sur internet pour quelques centaines d'euros.

La police locale, dans l'attente d'une réglementation limpide, est stricte les concernant. Fin décembre, un jeune homme a reçu un procès-verbal après qu'il est allé déposer plainte au commissariat après avoir "égaré" son drone. Il s'est en effet avéré qu'il n'avait pas le droit de le faire voler. La ville de Saint-Nicolas, quant à elle, examine le projet de développer son propre réseau de drones, mais la commission vie privée devra d'abord se prononcer en février sur cette idée.



24/01/2015
la meuse.be
Verviers: les rues de la ville transformées en patinoire suite à d'abondantes chutes de neige

La neige est tombée en abandance ce samedi matin dans toute la région verviéoise, comme dans le reste du pays, d’ailleurs. A Verviers, elle a surpris les automobilistes, les bus, les pompiers et... les services de déneignement qui sont cependant à présent à l’œuvre. 

L’auto-échelle des pompiers de Verviers bloquée à Stembert.
 GDS
L’auto-échelle des pompiers de Verviers bloquée à Stembert.
« Une véritable patinoire », nous confie cette automobiliste, ravie de rentrer chez elle sans encombre après une petite course en ville. Effectivement, nous le constatons de visu, notamment avec une collision entre deux voitures survenue dans le haut de la rue de la Concorde, à Verviers, sur le coup de 9h30. Contactée, la police de Verviers signale une autre incident, concernant un camion en perdition sur l’autoroute E40, à hauteur de Dison. Des bus du TEC Liège-Verviers sont quant à eux bloqués du côté de l’avenue Jean-Lambert, à Stembert. Et toujours à Stembert, les pompiers de Verviers qui venaient d’intervenir sur un petit feu d’origine électrique se sont retrouvés bloqués avec leur auto-échelle.
Le problème, c’est que les rues n’étaient pas déneignées, selon la plupart des témoignages. Contacté, l’échevin Jean-Marie Legros, en charge du déneignement, signale : « La neige a commencé à tomber aux environs de 7 heures », dit-il. « Comme elle continuait à tomber en abondance, vers 9h, j’ai téléphoné à l’agent technique et deux camions de déneigement sont sortis. Un troisième se préparait et un quatrième se prépare au moment où je vous partle. Le plan neige est donc en action, même si c’est plus difficile le week-end. Mais la situation est à présent sous contrôle et elle devrait se normaliser ».
Ailleurs dans l’arrondissement, on signale notamment une collision entre deux voitures suite à une glissade sur la neige au lieu-dit Thuron, entre Spa et Theux. La côte de Mont-Theux est par ailleurs bloquée.


24/01/2015
lemonde.fr
José Artur, pendant la célébration de la 2 000e de "Radioscopie", l'émission de Jacques Chancel, le 5 octobre 1976. 
José Artur, pendant la célébration de la 2 000e de "Radioscopie",
l'émission de Jacques Chancel, le 5 octobre 1976. GUY LE QUERREC/MAGNUM
Une voix reconnaissable entre toutes, au timbre ironique et doux, vient de s’éteindre. Compagnon de générations d’auditeurs, homme de radio après avoir été comédien, José Artur, mort samedi 24 janvier, à l’âge de 87 ans, fut avant tout l’homme du « Pop Club », qu’il produisit et anima sur France Inter de 1965 à 2005. Une émission culte, diffusée en direct et en soirée tardive, cocktail de musiques et de dialogues dont il fut, écharpe blanche autour du cou, l’inlassable ordonnateur.
Quarante ans durant, il reçut à son Micro de nuit (Stock, 1974) des milliers d’invités, souvent déjà célèbres, ou en passe de l’être, tant sa capacité de détection – des talents, des tendances, de l’air du temps… – était affûtée. La longévité du « Pop Club » n’est pas le fait d’un manque d’idées de son créateur, au contraire. Professionnel au large spectre, José Artur créa et anima parallèlement d’autres émissions de radio et collabora à différents programmes de télévision. Il était le père de la comédienne Sophie Artur et de l’animateur de radio et de télévision David Artur.
Né le 20 mai 1927 à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), José Artur est issu d’une famille d’origine bretonne et de tradition catholique, mère au foyer, père officier de marine puis sous-préfet. Dès l’âge de 12 ans il est en pension chez les frères maristes. Il poursuit ses études secondaires durant l’Occupation dans différents établissements catholiques, où il endosse le personnage de l’élève capable mais rétif à toute discipline.

Plus d'infos sur wikipédia

 





25/01/2015
rtbf.be
Près de 427 000 visiteurs, 
un record pour le "petit" Salon de l'Auto

 Edition record pour le "petit" Salon de l'Auto
 Edition record pour le "petit" Salon de l'Auto - Belga

La 93ème édition du Salon de l'Auto fermera ses portes ce dimanche soir. Au total, elle aura attiré quelque 427 000 visiteurs, un record pour une édition consacrée aux véhicules utilitaires légers, aux motos et aux véhicules de tourisme, a indiqué la fédération sectorielle Febiac. En 2013, le "petit" Salon de l'Auto avait accueilli 385 000 personnes.
Selon la Febiac, tous les éléments étaient réunis pour que cette 93ème édition soit un succès. Ainsi, les exposants proposaient au public sept premières mondiales tandis qu'une exposition était consacrée aux véhicules de rêve.
"En 2014, le "grand" Salon de l'Auto avait attiré un peu moins de curieux mais le "petit" salon de cette année en a accueillis davantage. Si l'on regroupe les deux chiffres, on parvient à un nombre hallucinant: un million de personnes se sont rendues à ces salons", a encore indiqué la fédération.
Belga



Vu par Sud Presse : 

quelques hôtesses hôtesses ...










photos : Vincent Rocher


26/01/2015
sudinfo.be
Les propos de Liesbeth Homans, ministre flamande N-VA, sur l'accès des enfants chômeurs aux crèches, suscitent le malaise dans la coalition flamande
Belga
Des propos de la ministre flamande N-VA Liesbeth Homans sur l’accès aux crèches des enfants de chômeurs ont suscité le malaise de ses partenaires de coalition CD&V et Open Vld, qui sont allés lundi jusqu’à demander un débat d’actualité mercredi au parlement flamand.
 
Pour Liesbeth Homans l’accueil subventionné doit servir «
en premier lieu aux personnes qui travaillent
»
Pour Liesbeth Homans l’accueil subventionné doit servir 
« en premier lieu aux personnes qui travaillent »
Dans l’hebdomadaire gratuit De Zondag, Mme Homans revenait ce week-end sur sa vision de l’accueil de la petite enfance: l’accueil subventionné doit servir «en premier lieu aux personnes qui vont travailler, celles donc qui contribuent au maintien de notre système social», a-t-elle dit.
Quant aux enfants qui grandissent dans la pauvreté, il est certes préférable qu’ils aillent dans des structures d’accueil, «mais pour eux, les pouvoirs publics peuvent développer d’autres solutions», a-t-elle ajouté. Et de citer des communes qui organisent, dans le cadre de leur politique d’action sociale, un accueil bon marché pour les enfants dans la précarité.
Ces propos ont suscité les réactions courroucées de l’opposition sp.a et Groen, qui parlent de ségrégation.
Dans la majorité, le ministre CD&V du Bien-être Jo Vandeurzen a dû se prononcer. Il a souligné que l’accueil de la petite enfance, à côté du fait qu’il améliorait le taux d’emploi, avait «une fonction sociale au moins aussi importante». Pour améliorer cette politique, «nous donnons une priorité absolue aux parents qui travaillent et suivent une formation professionnelle ciblée, et nous assurons l’accès aux enfants qui vivent dans des familles fragilisées», a-t-il précisé.
Sur Twitter, le député flamand Matthias De Clercq (Open Vld) a eu des mots plus durs: «Un enfant est un enfant. Aucun enfant, de quelque origine soit-il, ne mérite la stigmatisation, l’apartheid ou la ségrégation».
Le groupe CD&V au parlement flamand a réclamé la tenue d’un débat d’actualité mercredi sur cette polémique. L’Open Vld l’a rejoint.
De son côté, Mme Homans a réfuté avoir plaidé pour une séparation de l’accueil de la petite enfance. Elle a assuré qu’il fallait prévoir des places en suffisance pour les enfants des non-travailleurs, mais certainement aussi pour les enfants des travailleurs.
«Comment peut-on interpréter cela comme un plaidoyer pour des circuits séparés d’accueil de la petite enfance? C’est pour moi un mystère complet», a-t-elle commenté, déplorant une lecture partiale de ses propos.




rtl.be
26/01/2015
Crash au décollage d'un F-16 en Espagne: au moins 10 morts et 13 blessés
Un F-16 grec s'est écrasé lundi après-midi au décollage lors d'un entraînement sur la base aérienne de Los Llanos, dans le sud-est de l'Espagne, a indiqué le ministère espagnol de la Défense. L'avion de combat "est tombé au décollage", a précisé un porte-parole de la Défense. "Pour le moment nous avons dix personnes mortes et 13 blessées", a déclaré un porte-parole du ministère de la Défense, précisant que, parmi les personnes blessées lors de cet accident, sept étaient très grièvement touchées. Le chef du gouvernement Mariano Rajoy a exprimé sur Twitter son émotion "après le tragique accident sur la base aérienne de Los Llanos", près d'Albacete (environ 250 km au sud-est de Madrid), avant d'exprimer sa "tristesse" pour les victimes.
L'avion de combat de la force aérienne grecque devait effectuer des manœuvres dans le cadre d'un entraînement organisé par l'OTAN, le Tactical leadership Programme (TLP), et s'est écrasé au décollage, selon un communiqué diffusé plus tôt par le ministère de la Défense.
En s'écrasant, l'avion de chasse a tué des gens qui se trouvaient sur le tarmac

Il s'est apparemment écrasé sur le tarmac, heurtant d'autres aéronefs et tuant d'autres personnes qui s'y trouvaient. Lundi après-midi, des chaînes de télévision espagnoles ont diffusé quelques secondes d'images où on aperçoit un avion en feu, d'où s'échappent d'importantes volutes de fumée noire.
Les équipes de secours ont dû éteindre l'incendie entraîné par le crash sur l'aire de stationnement, qui s'est produit vers 15h avant de pouvoir déterminer le nombre de victimes.
Le chef d'Etat-major de l'armée de l'air, le général Francisco Javier Garcia Arnaiz, était en route pour la base lundi soir, de même que le ministre de la Défense Pedro Morenes, a précisé un porte-parole à l'AFP.


Une école de pilotes internationale

Selon le site internet de la base de Los Llanos, celle-ci abrite depuis 2010 un centre de formation de l'OTAN. "C'est une école de pilotes, qui accueille dix nationalités", a précisé un porte-parole du ministère. Le centre y forme des pilotes à diverses spécialités, y compris la guerre électronique, la reconnaissance ou le combat aérien. Selon le site du ministère français de la Défense, le TLP est l'une des formations "les plus réputées et les plus exigentes au monde" pour les pilotes de chasse. Les pilotes y sont déployés pour ces cours avec leurs appareils, qu'il s'agisse de Mirage ou encore de F-16.
"Je suis profondément attristé par l'accident d'un avion de combat grec sur la base de Los Llanos, qui a causé de nombreuses victimes", a déclaré dans un communiqué le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, sans livrer davantage de détails. "C'est une tragédie qui touche l'ensemble de la famille de l'OTAN", a-t-il ajouté en adressant ses condoléances aux familles des victimes.


Les Belges présents sur place sont indemnesLa Belgique participe à ce programme d'entraînement sur cette base, où trois membres de l'armée belge étaient présents. Ils sont indemnes, a précisé une porte-parole de la Défense, Sonia Van Loo. Elle a ajouté qu'il n'y avait pas de matériel belge touché. Le F-16 grec s'est apparemment écrasé sur le tarmac, heurtant d'autre aéronefs et tuant d'autres personnes qui s'y trouvaient.
Lundi après-midi des chaînes de télévision espagnoles ont diffusé quelques secondes d'images où on aperçoit un avion en feu, d'où s'échappent d'importantes volutes de fumée noire. Les équipes de secours ont dû venir à bout de l'incendie entraîné par le crash sur l'aire de stationnement avant de pouvoir déterminer le nombre de victimes.






26/01/2015
lameuse.be
Verviers participe à la réunion anti-radicalisme organisée à Namur par le Ministre-président wallon Paul Magnette

La lutte contre le radicalisme est plus que jamais au centre des discussions. Ce lundi, Paul Magnette, le ministre-président wallon, a invité les bourgmestres des grandes villes wallonnes, les gouverneurs des provinces wallonnes ainsi que les représentants des cultes et du centre d’action laïque à une réunion de concertation du gouvernement wallon.
 
Le Verviétois Nourredine Smaïli, aussi invité de la réunion.
Le Verviétois Nourredine Smaïli, aussi invité de la réunion.
  Le Verviétois Nourredine Smaïli, aussi invité de la réunion.
Marc Elsen, le bourgmestre de Verviers, a bien sûr fait le déplacement jusqu’à l’Elysette, à Namur. «C’est important de manifester mon intérêt et d’être aussi en ligne directe pour mieux articuler l’ensemble des politiques , juge Marc Elsen. Ça se met bien au niveau timing, il faut battre le fer tant qu’il est chaud. Cette première réunion n’avait pas pour vocation de réinventer la roue mais de voir là où c’est utile de renforcer les moyens, et ce, à tous les niveaux de pouvoir 




26/01/2015
lalibre.be
L'EI appelle à de nouvelles attaques après Charlie Hebdo: "Vous n'avez encore rien vu"
Le groupe extrémiste Etat islamique (EI) a appelé ce lundi à mener de nouvelles attaques contre les pays occidentaux, saluant les attentats exécutés par des jihadistes, notamment en France contre la rédaction de Charlie Hebdo.
"Nous appelons les musulmans en Europe et dans l'Occident infidèle à attaquer les croisés où qu'ils soient (...) nous promettons aux bastions chrétiens qu'ils continueront de vivre dans un état de terreur, de peur et d'insécurité", a affirmé Abou Mohammad al-Adnani, porte-parole de l'EI dans un message audio diffusé sur internet. "Vous n'avez encore rien vu", a-t-il prévenu, ciblant notamment Jérusalem et Rome. 
Le porte-parole du groupe extrémiste a pointés les "croisés", les "athées", les "juifs", considérés comme "ennemis d'Allah". Il a ajouté que l'EI considérait comme "ennemis" les musulmans qui peuvent s'en prendre aux "croisés" et ne le font pas. Il a salué les attaques menées par les "frères" jihadistes en "France, en Australie, au Canada et en Belgique", précisant que cela peut se faire avec des armes à feu, un couteau, une automobile, des pierres, des coups de pieds,...
Abou Mohammad al-Adnani s'est également gargarisé que, dans les pays précités, un seul homme puisse engendrer la mise en place de dispositifs de sécurité conséquents. 
Pour rappel, le massacre de la rédaction à l'hebdomadaire satirique français à Charlie Hebdo le 7 janvier, qui a fait 12 morts, a été mené par deux jihadistes français se revendiquant de la branche d'Al-Qaïda en péninsule arabique (AQPA). Le lendemain, cinq morts ont été abattus dans un supermarché casher à Paris par un jihadiste se revendiquant de l'EI.



  26/01/2015
lesoir.be
Standard – Anderlecht, 
un tifo «honteux», «scandaleux»: 
la BBC censure 
(revue de presse)
 

Les supporters du Standard responsables de la banderole représentant le joueur anderlechtois Steven Defour décapité, brandie dimanche peu avant la rencontre face à Anderlecht, pourraient se voir infliger une interdiction de stade. Celle-ci pourrait aller jusqu’à cinq ans et les amendes pourraient atteindre les 5.000 euros, selon la Cellule football du ministère de l’Intérieur.
Willy Demeyer, le bourgmestre de la ville de Liège, a dénoncé un appel à la haine et parle de rupture de confiance. 
«  Cela n’a pas sa place dans un stade de football. Cela n’a même sa place nulle part. Je rappelle que pénalement, ce tifo peut être considéré comme un appel à la haine, voire au meurtre »,
déplore le bourgmestre de Liège qui lance dans la foulée : 
« Je vais convoquer les représentants du club et de ces « supporters ». 
Quant à la direction du club liégeois, elle affirme avoir été piégée par ses supporters.
La presse belge et internationale est unanime pour condamner ce tifo qui fait scandale. Certains sites anglais ont même censuré le tifo.
Le Soir : le pire du football belge en 90 minutes
«  Le football belge, qui avait redoré son blason en 2014 avec l’incroyable engouement autour des Diables rouges, est retombé dans ses travers, ce dimanche, à Sclessin. Une chute lourde et lamentable. En cause, un « tifo » honteux décapitant Steven Defour, « coupable » d’être passé de Liège à Bruxelles, via Porto, l’été dernier »,explique Christophe Berti dans Le Soir.
« Si on ne met pas fin à ces dérives, si on n’interdit pas ces banderoles dans les tribunes, si on n’est pas capable de faire la différence entre la provocation et l’incitation à la violence et à la haine, comment pourra-t-on sérieusement parler de fair-play et de respect aux centaines de milliers d’enfants qui jouent au foot dans le Royaume ? Et aux millions de supporters ? »
La DH : une actualité qui rend ce tifo encore plus choquant
«  Nous avions espéré que malgré la rancœur des supporters rouches, personne ne dépasse les limites. Nous nous sommes bien trompés.
On avait eu droit à un incident du même genre une seule fois dans l’histoire récente du foot belge. Il avait été adressé à Ivica Mornar, lui aussi de retour à Sclessin sous la vareuse mauve. « Ivica, nous jugeons les traîtres comme dans ton pays. »
Ici, le message a – hélas – eu bien plus d’impact. Parce qu’un simple dessin peut faire bien plus de mal que mille mots, comme nous l’a rappelé l’actualité de ce début d’année. Une actualité qui rend ce tifo encore plus choquant », s’indigne la DH.
Le tifo de la T3 a suscité la polémique et suscite de nombreuses questions, enchaîne le quotidien sportif : comment cela a-t-il pu arriver ? Faire un tel tifo est-il une infraction à la loi ? Quelles seront les sanctions ?
La Libre : oui à la liberté d’expression, non aux provocations
« Les tragiques attentats terroristes commis à Paris, le climat d’insécurité qui règne en Belgique depuis qu’une bande de jihadistes a été démantelée à Verviers ont donné l’occasion d’en appeler au sens des responsabilités de tout citoyen. Oui à la liberté d’expression, non aux provocations, à la stigmatisation des communautés et aux amalgames, scandent ceux et celles qui tentent d’éviter le pire », écrit La Libre.
« Ce message ne passe pas auprès de certains. Fallait-il réunir une belle dose d’imbécillité et d’inconscience pour déployer, dans le stade de Sclessin, ce « tifo » (grande banderole) montrant Jason Vorhees, le héros de « Vendredi 13 », une série télé « gore », tenant une machette ensanglantée dans une main et dans l’autre, à côté de la mention « Red or Dead », la tête décapitée de Steven Defour, joueur passé du Standard à Anderlecht, deux clubs qui se rencontraient dimanche.
Ce n’était pas une faute de goût. C’était, dans le contexte actuel, une provocation honteuse. Comment admettre que cette banderole ait pu être amenée dans les tribunes ; qu’une fois déroulée, elle n’ait entraîné aucune réaction de la part des dirigeants du Standard, des membres de l’Union belge présents au stade ou de l’arbitre ; que le match se soit poursuivi comme si de rien n’était ? »
Sudpresse : la banderole scandaleuse
« Nous sommes les premiers à applaudir l’enthousiasme des supporters du Standard mais, cette fois, il est hors de question de cautionner un tifo aussi scandaleux que nauséabond, commente les journaux du groupe Sudpresse qui titre « La honte : la banderole scandaleuse.
À l’heure où la Belgique tremble devant les menaces djihadistes et que l’État Islamique égorge à tour de bras, mettre en scène celui qui est devenu, depuis son passage à Anderlecht, l’ennemi public nº1, avec son scalp relève au mieux de la bêtise ; au pire de l’inconscience », écrit Sudpresse.
L’Avenir : le tifo qui gâche le goût des adieux
«  La direction du Standard a-t-elle eu tort de faire confiance à la frange la plus chaude des supporters liégeois avant ce Clasico ? Écrire que le tifo qui attendait Steven Defour sur le terrain de ses anciennes amours dépassait allègrement les frontières du mauvais goût relèverait de l’euphémisme », écrit L’Avenir.
« La T3 avait choisi de donner dans le glauque plus que glauque, en ces temps où, sous d’autres latitudes, on tranche des gorges pour de bon. On peut comprendre l’embarras dans lequel se retrouve – à nouveau – plongé le Standard, finalement très peu de temps après avoir dû battre le rappel de ses juristes pour rattraper les dérapages face à Zulte-Waregem ».
LA BBC censure
Le site anglais de la BBC se contente d’expliquer les faits (pourquoi ce tifo, la réaction de l’Union Belge) mais a décidé de censurer en floutant le dessin représentant Steven Defour décapité.

D’autres sites anglais ont également censuré le tifo des supporters du Standard.
L’Equipe : le tifo qui fait scandale
Le tifo qui fait scandale, titre l’Equipe sur son site. «  Lors du Clasico du championnat belge ce samedi entre le Standard et Anderlecht, un « tifo » géant déployé dans la tribune des fans locaux a choqué : une image d’un guerrier armé d’un sabre et tenant de la main gauche la tête de Steven Defour, le meneur de jeu d’Anderlecht », explique le quotidien sportif français.
Le Figaro : Defour accueilli par un tifo effrayant
« Désormais joueur d’Anderlecht, Steven Defour était de retour à Liège dimanche à l’occasion du classique entre le Standard et le club bruxellois. Le milieu de terrain, qui s’est attiré les foudres de ses anciens supporters en signant chez l’ennemi l’été dernier, a été accueilli par un tifo aussi impressionnant qu’effrayant au Stade Maurice-Dufrasne  », explique Le Figaro.
France Football : le tifo qui choque
« Lors du Clasico du championnat belge entre le Standard et Anderlecht, un « tifo » géant déployé dans la tribune des fans locaux a choqué : une image d’un guerrier armé d’un sabre et tenant de la main gauche la tête de Steven Defour, le meneur de jeu d’Anderlecht  », explique France Football.

20min : des fans choquent avec un tifo d’une décapitation
« Les supporteurs du Standard de Liège ont brandi une banderole, qualifiée par beaucoup de « choquante », représentant l’ancien capitaine du club aujourd’hui à Anderlecht, Steven Defour, décapité », explique 20min, le quotidien suisse.
« Dans le contexte des décapitations d’otages par le groupe terroriste Etat islamique, la banderole a choqué de nombreux internautes sur les sites des principaux médias belges, voire même à l’étranger ».
LCI : blague de mauvais goût
Belga
«  Le Standard de Liège contre Anderlecht de Bruxelles, c’est un peu comme quand le PSG rencontre l’OM, le Rela, le Barça… les deux clubs ne s’aiment pas, c’est peu de le dire, et chaque rencontre est l’occasion de l’exprimer. Mais il semble cette fois-ci qu’une limite ait été dépassée. Lors de l’entrée des équipes, un groupe de supporteurs « Rouches » a déployé une grande banderole où l’on voyait un homme masqué, tenant une machette ensanglantée dans sa main droite et la tête de Steven Defour, décapité, dans l’autre, avec la mention « Red or Dead » (« Rouge +la couleur du Standard+ ou mort ») », explique LCI sur son site.

L’Express : la rivalité est allée trop loin
Les matches entre Anderlecht et le Standard de Liège sont toujours très chauds. Cette fois, la rivalité est allée trop loin avec un tifo des supporters représentant Stevan Defour décapité. Et ce slogan : « Rouge (couleur du maillot du Standard, ndlr) ou mort ». La bâche a été déployée ce dimanche, dans le cadre de la 23e journée du championnat de Belgique, commente lexpress.fr.
Goal.fr : une banderole d’une extrême violence
« La rivalité entre le Standard de Liège et Anderlecht est une des plus fortes de Belgique. Quand Steven Defour, ancien capitaine du Standard, avec qui il a remporté deux titres de champion (2008-2009), rejoint Anderlecht cet été, il sait qu’il va s’attirer les foudres de ses anciens supporters. Il ne pensait sûrement pas que ça irait si loin. Avant l’affiche de la 23ème journée de Jupiler League, les ultras liègeois avaient promis un accueil très « chaud » à leur ancien capitaine. Chose promise, chose due, ils ont déployé une banderole d’une extrême violence avant le coup d’envoi  »,commente goal.fr.
ESPN : un tifo choquant
ESPN, Le site sportif américain explique qu’il y a matière à débattre sur ce tifo et explique que l’ex-joueur du Standard a reçu une carte rouge après avoir réagi avec colère en voyant le tifo choquant des fans du Standard.


la suite des actus 2015 : N°2 ici

1 commentaire:

  1. la suite des actus 2015 : N°2
    http://mediabeofficiel-10.blogspot.be/2015/02/lactu-en-2015-suite-n2.html

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